Jean Baubérot’s research while affiliated with French National Centre for Scientific Research and other places

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Publications (50)


Chapitre 3. Suite des inventaires. Le mort oublié, l’ajournement, le bilan, le passé resurgi
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January 2024

Jean Baubérot

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Chapitre 7. Les non-morts d’un culte devenu « illégal » : la partie de poker continue

January 2024

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Chronologie

January 2024

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Glossaire

January 2024

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Chapitre 6. « Qui sème le vent récolte la tempête » : de l’opposition « canonique » à l’opposition « politique »

January 2024

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Chapitre 8. Pas d’entente, mais une rapide détente

January 2024

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Bibliographie

January 2024

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Abréviations

January 2024

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Chapitre 4. « Le joli mois de mai » : la victoire de la séparation libérale

January 2024

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Postlude. Pacte laïque et paradoxe des conséquences

January 2024

Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l’État est promulguée. Si les deux premiers tomes de cette fresque historique ont dévoilé les difficultés menant à cette étape cruciale, ce troisième volet montre à quel point promulgation et validation ne riment pas toujours. De nombreux prélats catholiques déclarent le 1er janvier 1906 « jour de deuil », date à partir de laquelle « Dieu n’existe plus ». Alors que les motifs d’inquiétude surgissent – la fin du « service public des cultes » et donc de leur financement par l’État, les inventaires des biens d’églises vécus comme une « spoliation » –, le pape choisit la résistance, condamnant successivement toutes les dispositions légales que l’État désire mettre en place pour l’exercice des cultes, et désavoue les évêques français. Le peuple, lui, semble avoir accepté la loi, les élections législatives de 1906 étant un nouveau succès pour la majorité sortante de gauche. Le recours à une histoire contrefactuelle (« ce qui serait arrivé si… ») montre comment des situations en apparence inextricables ont pu être dénouées par une stratégie d’esquive qui rend l’Église catholique « légale malgré elle ». Renouvelant une historiographie trop lisse, ce troisième tome donne à lire les efforts d’un trio politique éclatant – Georges Clemenceau, Jean Jaurès et Aristide Briand – pour éviter une « guerre religieuse » résultant d’une « victoire excessive », et permettre à la République d’obtenir une victoire durable car pacificatrice.


Citations (12)


... In turn, A. Martinet claims that this linguistic phenomenon may seem at first a useless waste of articulatory energy, but most often it is a reduction of mental energy [Martinet 1963:537]. According to B. Pottier, the positive role of redundancy consists in the fact that this linguistic phenomenon contributes to the transmission of information despite interference that prevents communication, such as noise, logical errors, distortion of meaning [Pottier 1973:239], I.R. Galperin supports this view noting that linguistic redundancy is an integral property of any speech act, moreover, it promotes expressiveness and eliminates "interference" in the process of perception helping to clarify the message [Galperin 1974]. Yu.M. Lotman also regards redundancy as a positive property of language since it ensures the stability of language in terms of errors and subjective perception [Lotman 1994]. ...

Reference:

CONVERGENCE OF STYLISTIC DEVICES AS A CATEGORY OF REDUNDANCY
Les laïcités dans le monde
  • Citing Book
  • November 2010

... It is important to appreciate that the precise meaning and parameters of laïcité have always been disputed. One strand was historically clerical and monarchist, but today is characterised by being more pluralistic and open (Baubérot 2010;Jansen 2013). Yet it is the other, more combative, version of laïcité, which came to connote a particular anticlerical attitude and policies (Gunn 2004), that has become increasingly prominent, and which for some has come to represent a distortion of the 1905 law (Baubérot 2014). ...

The Evolution of Secularism in France: Between Two Civil Religions
  • Citing Chapter
  • January 2010

... In the path dependence of its revolutionary and tumultuous republican traditions since 1789, France has been a fertile ground for conflicts between politics and religion. After the iconic 1905 Law on the Separation of Churches and State and subsequent norms, laïcité understood -at least in its original inspiration -as a reconciliation system that relegates religion to the private domain in order to maintain peace in public space (Baubérot 2014) has been progressively imposed as the master frame of national identity. Still, laïcité has been interpreted in several competing versions ranging from totally secular to religiously loaded ethnocultural narratives. ...

Une laïcité conviviale
  • Citing Article
  • May 2014

Revue du MAUSS

... To our knowledge, this study is the first to clearly distinguish between participants with new and historical personal representations of secularism, and to demonstrate how these contrasting representations are related to prejudice against different religious groups. Participants in our study predominantly reported a personal "new" representation of secularism, which is considered to be a new and more restrictive interpretation of French secularism, driven by policies and laws banning religious symbols in the public sphere (Baubérot, 2012). This highlights the important role played by policies in shaping attitudes towards minority groups. ...

La laïcité française : républicaine, indivisible, démocratique et sociale
  • Citing Article
  • January 2012

Cités

... Incidentally, the students are not representatives of the state, so that an appeal to the separation of Church and State is misplaced, and "Church" may be said to be a misnomer, since Muslims in particular are affected by the law. 8 A complicating issue is that the principle of laïcité extends beyond what secularism embodies. While secularism means that government actions should not be influenced by religious considerations, not treating religious citizens or organizations differently than nonreligious ones, laïcité seeks to protect citizens from religion, so that they are not confronted with it in the public sphere. ...

L’évolution de la laïcité en France : entre deux religions civiles
  • Citing Article
  • July 2009

Diversité urbaine

... É a partir destas discussões teóricas e percepções históricas que surgem tendências políticas laicistas e/ou secularistas. Jean Baubérot (2011;2013) descreve a existência no debate público de um movimento laicista que reivindica a Laicidade do Estado e, em algumas vezes, o próprio ateísmo de Estado, ou seja, um modelo institucional em que a religião seria totalmente suprimida da esfera pública da sociedade. Reivindicações destes estilos tomam como base, por exemplo, o modelo francês de laicité (ainda que este não seja nem o primeiro nem o mais "puro" caso de Laicidade existente na história). ...

A favor de uma sociologia intercultural e histórica da laicidade
  • Citing Article
  • Full-text available
  • September 2011

Civitas - Revista de Ciências Sociais

... En effet, de culture française, elle est présente dans 26 pays dans des zones géographiques variées à la culture religieuse dominante différente de celle de la France. Cette dernière est sécularisée(Baubérot, 2013 ;Galindo et Surply, 2010 ;Gaudu, 2009 ;Wilson, 1966) et la majorité de sa population active se dit sans religion mais elle comporte simultanément la proportion de musulmans la plus importante d'Europe de l'Ouest 3 L'entreprise étudiée évolue également au Moyen-Orient à dominante musulmane, en Inde à dominante hindouiste, en Afrique (Maghreb, Afrique subsaharienne, océan Indien) où christianisme, islam, animisme notamment sont représentés.3. INSEE, La diversité religieuse en France : transmissions intergénérationnelles et pratiques selon les origines (2023) ; Pew Research Center, Europe's growing muslim population (2017). ...

Sécularisation, laïcité, laïcisation
  • Citing Article
  • July 2013

Empan

... The other form is moral autonomy expressed in a certain mode of life and reflection that critically examines our deepest ends and ideals, as in Mill's ideal of individuality, or by following as best one can Kant's doctrine of autonomy ....Many citizens of faith reject moral autonomy as part of their way of life." 5 Rawls attempts to draw citizens of diverse religious, moral and philosophical beliefs, what he calls comprehensive doctrines, into a consensus on a political conception of the basic constitution of liberal democracy and its principles of justice. Some theorists argue that secularism is a movement towards the separation of religion and government (often termed the separation of church and state). ...

THE SECULAR PRINCIPLE
  • Citing Article

... Islamophobia in France and its linkages with secularism across Europe (Carland, 2011;Doyle, 2011Doyle, , 2013Goldberg, 2006;Martínez-Ariño and Griera, 2020) demonstrate that France's secular laws are driven by underlying Islamophobic ideals as a part of the state's illiberal tendencies to control religious institutions. The political arguments and debates concerning laïcité and its legal manifestations, such as the 2004 and 2010 laws, have been thoroughly explored as a part of this larger pattern (Asad, 2006;Barras, 2010;Baubérot, 2009;Galembert and de Raillard, 2014;Hancock, 2008Hancock, , 2015Raymond, 2009;Weill, 2006). ...

Laicite and the Challenge of 'Republicanism'
  • Citing Article
  • May 2009

Modern and Contemporary France

... It is through the lens of communautarisme that the French state and public view the burqa foremost as a symbol of women's oppression at the hands of Muslim men in their community (Joppke 2009) and further, as a security threat hidden behind discourses and norms created in the basement mosques of les quartiers sensibles. The banning of the headscarf in public schools was precisely a move by the state to assert its authority against the supposed tide of communal pressure among Muslims, in an institution designed for the molding of French citizens and protection of laïcité (French secularism) (Baubérot 2006). While the law was designed to protect laïcité in schools, teachers, and schoolgirls, it also clinched the larger public discomfort with the headscarf as a sign of religion in public space and symbol of women's oppression. ...

Modernité tardive, religion et mutation du public et du privé (à partir de l ’exemple français)
  • Citing Article
  • June 2006

Social Compass