Book

Wybrane problemy językoznawstwa sądowego w Polsce

November 2024

DOI:10.12775/978-83-231-5755-7

ISBN: 9788323157540

Authors:

Małgorzata Anna Gębka-Wolak

Nicolaus Copernicus University

Przedmiotem opisu stanowiącym trzon rozważań w niniejszej monografii jest zespół zagadnień związanych z językoznawstwem sądowym. Tak określona subdyscyplina językoznawstwa praktycznego jest obecnie na etapie tworzenia swoich podwalin. […] Przedstawiona publikacja jest kształtowana na dwóch zasadniczych podstawach – propozycji założeń teoretycznych dotyczących językoznawstwa sądowego oraz rozwiązań praktycznych. Autorzy stoją bowiem na stanowisku, że elementem najistotniejszym w procedurach prawnych z punktu widzenia biegłego językoznawcy jest informacja na temat praktycznego dochodzenia do konkluzji na podstawie analizy materiału dowodowego. Działanie takie jest jednak skuteczne i powtarzalne jedynie wówczas, gdy jest osadzone w jasno sformułowanych metodach i procedurach działania oraz wykorzystuje konkretne narzędzia analityczne. Fragment książki

ResearchGate has not been able to resolve any citations for this publication.

ResearchGate has not been able to resolve any references for this publication.

Article

Full-text available

Wybrane problemy funkcjonowania podmiotów ekonomii społecznej w Polsce

June 2021 · Studies of the Industrial Geography Commission of the Polish Geographical Society

Celem niniejszego artykułu było zaprezentowanie istoty ekonomii społecznej przez pryzmat podmiotów realizujących tę ideę oraz znalezienie odpowiedzi na następujące pytania badawcze: w jakim zakresie podmioty ekonomii społecznej są odpowiedzią na współczesne trendy społeczne; jak kształtuje się zapotrzebowanie społeczne na tego typu podmioty? Tak postawiony cel i pytania zdeterminował układ pracy. ... [Show full abstract] Rozważania rozpoczęto od przedstawienia istoty ekonomii społecznej, pokazano różnice pomiędzy poszczególnymi typami podmiotów ekonomii społecznej, odniesiono się również do przedsiębiorczości społecznej i jej typów. Osobne miejsce poświęcono ewolucji podmiotów ekonomii społecznej, od czasów sprzed drugiej wojny światowej. Aby w pełni zrealizować cel, przytoczono dane statystyczne charakteryzujące podmioty ekonomii społecznej w Polsce, w tym zmianę ich liczebności oraz stan zatrudnienia.

Article

Full-text available

Wybrane problemy adresowania aktywnych polityk rynku pracy w Polsce

November 2012 · Acta Universitatis Nicolai Copernici Ekonomia

Prawidlowe adresowanie aktywnych polityk rynku pracy jest waznym czynnikiem wplywającym na ich skutecznośc w rozumieniu oddzialywania na zatrudnienie. Artykul podejmuje probe oceny poprawności adresowania aktywnej polityki rynku pracy zarowno w kontekście zapisow ustawowych, jak i aktualnych wynikow analiz efektywności netto poszczegolnych instrumentow. Analizie poddano podstawowe instrumenty ... [Show full abstract] aktywnej polityki rynku pracy, stosowane w Polsce w 2009 roku. Oceny adresowania aktywnych polityk rynku pracy dokonano na podstawie wynikow estymacji szeregu modeli logitowych.

Book

Full-text available

Monastycyzm benedyktyński w średniowiecznej Europie i Polsce. Wybrane problemy [Benedictine Monastic...

January 1998

[...]
Marek Derwich

Monachisme bénédictin en Europe et en Pologne au Moyen Âge. Problèmes choisis. Ce livre a pour but de présenter ce qui à été réalisé en matiere d’historiographie concernant le monachisme, et en particulier le monachisme bénédictin. II a également pour but de montrer la place qu’occupait le monachisme bénédictin polonais dans l’Europe médiévale latine. En fonction des besoins de l’exposé ainsi que ... [Show full abstract] de mes compétences, soit je m’en suis tenu à une bibliographie commentée, soit j’ai présenté des caracteristiques plus générales, soit encore j’ai proposé des essais de synthèse de la question sur la base de mes propres réflexions et recherches analytiques. Je me suis toujours efforcé d’exprimer mes propres vues sur les diverses questions abordées. Dans l’optique de prochains développements des recherches – comme j’espère –j’ai voulu fournir aux historiens débutants qui se consacreront à l’histoire des ordres religieux des informations élémentaires sur le monachisme et les bénédictins, et leur apporter mon aide en les orientant dans la littérature très abondante qui existe déjà sur la question. À cet egard, mon livre se veut aussi une sorte d’introduction à la recherche sur le monachisme. C’est pourquoi j’ai mis l’accent (en particulier dans les chapitres III et IV) sur certains ouvrages qui permettent de cerner l’essence même et les problèmes de recherche liés a l’histoire du monachisme et des bénédictins. Le lecteur y trouvera des références aux ouvrages scientifiques ainsi qu’aux livres de vulgarisation qui peuvent foumir une bonne introduction aux recherches. Dans le même but, je mentionne aussi largement (sans toutefois prétendre être exhaustif) des traductions polonaises d’oeuvres et de travaux d’historiens étrangers, ainsi que des ouvrages en langue polonaise traitants du monachisme sans être directement liés à la Pologne. J’ai toujours cherché à présenter surtout les ouvrages les plus importants et les plus récents, sans pour autant oublier certaines œuvres plus anciennes qui font toujours autorité. Le livre traite avant tout des moines noirs, sur lesquels je me suis principalement concentrés mon attention. Chacun des autres types de monachisme est également envisagé, certes moins en détails, mais toujours dans l’optique de présenter les problèmes et les travaux les plus significatifs. Je ne me suis interéssé qu’au monachisme de type occidental, le monachisme orthodoxe étant tout à fait different et méritant d’être étudie séparément. En Pologne, son influence sur les confins de l’Est est tardive et reste marginale (cf. § 43.1.1, note 3). Cela explique pourquoi, dans ce livre, je ne cite qu’occasionnellement aux ouvrages de référence à ce propos. J’ai ensuite voulu présenter les études – ainsi que leurs orientations – sur l’histoire du monachisme bénédictin, c’est à dire l’histoire des bénédictins, des congrégations et des ordres qui en sont issus directement. II s’agit donc en premier lieu d’études sur l’histoire de Cluny, puis des grands ordres comme Vallombreuse, Fontevrault, les silvestrins et les olivétains, puis, brièvement, des congrégations de type plus modern qui virent le jour à la fin du Moyen Âge: notamment la congrégation de Sainte Justine de Padoue (ensuite congrégation cassinienne), celles de Bursfeld, de Montserrat, de Kastl, de Melk, de Chezal-Benoît. En troisieme lieu, je me suis intéressé à l’histoire des autres moines (cisterciens, guillelmites), des ermites (camaldules, grandmontains, chartreux et, très superficiellement, hiéronymites), ainsi que des anachorètes et des reclus. Je me suis aussi intéressé aux chanoines réguliers, ce qui pourrait être considêrê comme peu à propos si considèrait le monachisme dans le sens de mot le plus strict. Cependant, des similitudes nombreuses qui existent entre le mode de vie (mais non la règle) du monachisme et des chanoines règuliers à finalement mené à effacer leurs différences de fonctionnement dans un environnement et dans une micro-région agraire, sociale et culturelle (§ 40.9.9.3). II est donc difficile de faire des recherches sur le monachisme sans connoître l’histoire des chanoines réguliers, ce qui explique queje parle d’eux dans ce livre. Du point de vue chronologique, cet ouvrage traite du Moyen Âge, donc en principe d’une période qui s’étend du Ve à la fin du XVe siècle. Dans le cas de l’histoire d’un phénomène comme le monachisme, qui est aussi de „longue durée” dans son histoire, je n’ai toutefois pas jugé pertinent de m’e tenir strictement à ces limites. Je me suis en particulier concentré sur les débuts du monachisme. Je réfère aussi souvent aux notions qui se rapportent aux époques plus récentes. J’essaie également de montrer brièvement comment des processus commencés au Moyen Âge trouvent leur continuation à I’époque modeme. Je traite séparément l’apport des bénédictins dans le développement de l’histoire en tant que science (§ 38). Je me suis largement étendu sur l’histoire des bénédictins polonais. Je leur ai non seulement consacré le dernier chapitre de ce livre, où j’ai essayé de présenter leur histoire de manière synthetique, mais aussi de nombreuses remarques dans le cadre des autres questions traitées. En particulier, je me suis efforcé de mettre en relief les contacts des bénédictins polonais avec le reste de l’Europe, en consacrant à ce sujet des divers paragraphes, que j’ai ajoutés à mes commentaires sur les recherches relatives au monachisme dans les différents pays et régions (chapitre V). Dans cet ouvrage j’ai tenu compte des résultats de l’historiographie dite „occidentale”, c’est-à-dire des recherches menées par des historiens d’Europe occidentale et d’Amérique du Nord. J’ai surtout voulu présenter les ouvrages les plus récents et les plus importants, qui ont joué un grand rôle dans mes propres recherches: j’ai tenu pour un critère important pour les choisir le fait de connaître personnellement les oeuvres auxquelles je me réfère. Je me suis finalement décidé de ne pas traiter dans des chapitres différents les études portantes sur le monachisme en Europę centrale et en Pologne. J’ai voulu, de cette manière, montrer le caractère universel de la question: dans le cas du monachisme et des études à son propos, un partage entre l’Europe occidentale et l’Europe centrale ne serait pas fonde. D’autre part, nous avons déjà publié précédemment un large inventaire des recherches sur le monachisme d’Europe centrale (Derwich et al. 1995; Cf. Elm 1990), ainsi qu’un autre, consacré à la Pologne et qui vient de paraître (Derwich 1997d). Je suis en train de terminer une version élargie, en langue polonaise, de ce demier ouvrage. Pour la Bohême et la Moravie, le meilleur résumé d’études se trouve dans la récente Encyklopedie ćeskych klasteru (Vlćek/Sommer/Foltyn 1997), pour la Slovaquie, dans les textes du colloque Dejiny a kultura rehol'nych komunit na Slovensku (Śimonćić 1994), et pour la Hongrie, dans l’ouvrage de synthese de F.L. Hervay et J. Török (1991). J’ai par contre consacré un petit chapitre séparé aux recherches sur le monachisme dans les Balkans, car il n’a pas été pris en consideration dans les ouvrages cites ci-dessus. J’ai donc voulu combler cette lacune pour outant que possible et souligner la nécessité de s’interesser de plus près aux études qui ont été réalisées dans ces contrees. Dans ce livre, je n’ai eu ni l’intention ni les moyens d’épuiserle sujet. Le lecteur y trouvera une présentation simplifiée et relativement sélective des ouvrages de base, et surtout les plus récents: je me suis notamment – mais pas uniquement – orienté vers les traveaux parus depuis le livre de G. Constable (1974). Ce sont mes propres expériences et mes lectures qui ont orienté mon choix, dans lequel j’ai voulu présenter d’une part un éventail représentatif d’ouvrages spécialisés récents qui peuvent être d’une aide irremplaçable dans les recherches sur le mona-chisme, en particulier le monachisme bénédictin, et d’autre part une certaine orientation dans l’ordre et l’importance relative des lectures. Le chapitre I présente brièvement les besoins et les initiatives actueles des chercheurs polonais. Le chapitre II est consacré aux questions de terminologie et de méthodologie. J’y présente quelques propositions et quelques ideés quant aux méthodes et aux orientations à donner aux recherches sur le monachisme. Les chapitres III et IV présentent les „outils” de travail, d’étude et de synthèse: le chapitre III est consacré à l’histoire du monachisme et du clergé regulier, et le chapitre IV, à l’histoire des bénédictins. Les chapitres V à VII présentent les recherches les plus importantes sur les bénédictins (avec des remarques occasionnelles sur les autres ordres monastiques et chanoines réguliers). Le chapitre V est envisage dans une perspective territoriale, situant les bénédictins par pays, selon les frontières actuelles, ou par de grandes régions géographiques. Le chapitre VI donne une perspective chronologique, jusqu’à la fin du XVe siècle. Le chapitre VII est thématique, agencé selon les questions que j’ai choisi d’aborder. Cette partie est loin d’être exhaustive. J’ai voulu surtout présenter les principales sources normatives relatives aux monachisme, les études les plus récentes sur la question, et leur interprétation, un sujet qui me semblait particulièrement important mais aussi très négligé. J’ai egalement présenté les caractéristiques de quelques études portant sur les bénédictins érudits modernes et sur leur apport en matière d’histoire monastique, ainsi que sur le monachisme feminin et sur les ermites. Le chapitre VIII est entierement consacré aux bénédictins polonais. J’y présente un bref aperçu de l’histoire des bénédictins en Pologne jusqu’aux années 1530. Tout en ouvrant à la discussion (comme je espère) sur des thèses générales, ce chapitre est aussi une introduction à l’histoire des bénédictins polonais au Moyen Âge. Les particularites polonaises sont aussi mentionnées dans les chapitres VI et VII, lorsque je parle de diverses époques et de questions particulières. Dans le chapitre V, je mentionne et j’analyse toutes les informations qui m’étaient disponibles sur les des contacts des bénédictins polonais avec les divers pays et regions cités. À la fin de l’ouvrage, je tente de résumer les résultats de mes recherches et de définir le champ de recherches futures dont il m’a été impossible de traiter dans le cadre de ce livre. II me semble très important et très urgent d’étendre le champ des questions à traiter. Pour le faire, il est indispensable de comprendre l’essence du monachisme et les règles qui régiaient son fonctionnement. Ce n’est pas possible si l’on ne connaît pas les statuts monastiques, la tradition litteraire monastique et sa spiritualité. Il est aussi nécessaire de connaître l’énorme bibliothèque historiographique, ancienne et modeme, qui a été écrite sur le sujet. Ce livre n’apporte qu’une partie de tous ces élements: une partie importante, mais loin d’être exhaustive. J’ai dû y opérer des choix de deux ordres. II était malheureusement impossible d’aborder toutes les questions importantes. Ainsi, les questions de spiritualité, de liturgie, d’économie, de culture, de vie quotidienne, de repos, de silence, d’habit, de profession, du moine et de ses voeux, du père abbé, de son élection et de ses pouvoirs, ainsi que beaucoup d’autres ne sont pas abordées dans cet ouvrage, ou n’y sont évoquées que de manière superficielle. Je espère trouver les forces et les possibilités de présenter la nombreuse documentation que j’ai déjà rassemblee sur ces questions dans des prochaines publications. Le second choix concernant les ouvrages et recherches auxquels je me réfère. Le choix des informations est toujours une question personnelle. Je me suis efforcé, en effectuant ces choix, de me tenir à une stricte objectivite, au point où la prudence m’a parfois obligé à étendre un peu trop la liste des ouvrages choisis que je cite. II se peut qu’une sélection plus stricte eût été plus fondée. Le lecteur trouvera sûrement dans ce livre de nombreuses inconsequences, des choix erronés, des références peu fondàes a des œuvres de moindre intérèt ou des oublis impardonnables d’ouvrages ou de contributions importantes. Dans mes lectures, je me suis surtout attache aux les ouvrages consacrés expressément au monachisme. Mais à côté de ceux-ci, il y a aussi une immense littérature, qui établit des rapprochements avec des questions liées au monachisme. Or, chacun sait que souvent ces rapprechements sont d’une grande valeur et permettent l’énoncé de thèses novatrices. On trouvera sans doute dans ce livre de nombreux oublis concemant cette littrature. La littérature historique relative au monachisme a toujours besoin de faits, notamment une littérature aussi peu développée que l’historiographie polonaise. Cependant, les faits ne sont pas les plus importants dans nos recherches. Le monachisme en soi est un phénomène de longue durée, comme le conçoivent les humanistes européens. II est aussi, paradoxalement, un phénomène social et culturel, et pas seulement religieux ou ideologique. Pour l’étudier, il faut donc aussi tenir compte de principes de l’anthropologie historique. Dans ce livre, je me suis efforcé de présenter des problmes et leurs solutions méthodiques, des questions et des tentatives de réponses, ainsi que des doutes. J’ai aussi essayé de montrer que la fascination pour le temps d’implantation du monachisme nous occulte certaines questions essentielles relatives à leur histoire et leur évolution ultérieures à l’interieur de sociétés et de cultures déterminées. Plus même, cette fascination ne permet pas de considérer ces débuts dans une perspective de „longue durée” ni d’échapper à la magie d’une datę, d’un personnage ou d’un lieu. La mosaîque hétérogène que forment les abbayes bénédictines dans leur indépendance ne nous facilite pas la tâche. La littérature dispersée et peu accessible, des archives et des collections de bibliothéques peu connues (surtout en ce qui concerne la fin du Moyen Âge) ne la facilitent pas non plus. Mais ce sujet séduisant, ses facettes multiples et l’interdisciplinarité qu’il requiert récompensent largement l’historien qui s’y attache. Combien, en effet, il reste a faire! Combien de futures découvertes, d’aventures créatrices et l’émotions! N’est-ce pas une récompense suffisante pour ceux qui savent durer? * La bibliographie, très volumineuse, fait une partie intégrante de l’ouvrage. Sa forme permet l’utilisation, à l’intérieur du texte, de références abrégées de type oxfordien. J’espère que l’inconfort que cette méthode implique pour le lecteur sera contrebalancé par la facilité d’identification des références et l’acces à une bibliographie qui contient toutes les sources et tous les ouvrages cités. Comme il y a prês de 3000 références bibliographiques, cette formę de documentation m’a paru la seule utilisable. Pour distinguer les publications citées dans la table des sources manuscrites et imprimées, j’ai inséré l’abreviation „ed.” entre le nom de l’editeur ou le titre de l’ouvrage et la datę d’édition. La bibliographie est classée dans l’ordre alphabetique, et dans le cas de noms précédés d’un article ou d’une particule (par exemple, la, de, di, van, von, etc.), il faut chercher à la lettre correspondante à cet article ou particule. Les caractères diacritiques propres aux alphabets d’autres langues que le polonais n’ont pas d’incidence sur 1’ordre alphabétique. Pour que la structure du livre soit plus claire et pour que les références au texte même soient plus faciles, je l’ai divisé en plusieurs paragraphes (§). Leur numérotation est suivie. Bibliogr. s. 216-376.

Article

Full-text available

Wybrane problemy rynku biopaliw transportowych w Polsce w kontekście uwarunkowań Unii Europejskiej

December 2007 · Zeszyty Naukowe SGGW w Warszawie - Problemy Rolnictwa Światowego

[...]
Izabela Wielewska

W 2007 roku Unia Europejska zaproponowała następujący Pakiet Energetyczny: minimum 20% redukcji gazów cieplarnianych, minimum 20% energii ze źródeł odnawialnych i wykorzystanie minimum 10% biopaliw transportowych w paliwach ogółem do roku 2020. W Polsce od kilku lat notuje się niski wskaźnik wykorzystania biopaliw w strukturze paliw transportowych. Mimo iż wskaźnik osiągnięcia celu (udział ... [Show full abstract] energii z biopaliw) wzrasta z roku na rok począwszy od 2004, gdy wynosił 0,3%, a w kolejnych latach 0,48% i 0,92% udziału biopaliw w zużyciu paliw w transporcie ogółem, znacznie odbiega od tych, o których mowa w dyrektywie 2003/30/EC (np. 2,75% w roku 2006). Obecnie w Polsce znaczenie gospodarcze mają dwa rodzaje biopaliw transportowych: biodiesel i bioetanol (w postaci ciekłej lub eteru ETBE). Sektor produkcji bioetanolu jest sektorem dojrzałym, który prawdopodobnie będzie przechodził na technologię jednoetapową produkcji biokomponentu, natomiast sektor biodiesla jest sektorem w początkowej fazie rozwoju, w którym od roku 2005 funkcjonuje dotychczas jeden duży producent (Rafineria Trzebinia, Grupa Orlen) oraz zanotowano dwa inne wejścia rynkowe w II połowie 2006 roku (Elstar Oil-Malbork, Solvent Dwory). Wejście do sektora planuje kilkunastu inwestorów. Głównym problemem determinującym rozwój produkcji biodiesla w Polsce są bariery przyrodniczo-organizacyjne produkcji nasion rzepaku, ograniczające powierzchnię jego upraw do 1 mln ha.

Last Updated: 10 Nov 2024