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The Mystical Quality of Foucault’s Confessions of the Flesh : An Inquiry from Within

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The publication of Michel Foucault’s Les Aveux de la chair (History of Sexuality, Volume 4: Confessions of the Flesh) thirty-four years after his death highlights and complicates the relevance of Christian texts—notably from the second through fifth centuries—to Foucault’s forms of critical analysis between 1974 and 1984, as his interests migrate from monastic disciplines to pastoral power to governmentality to the care of the self. What begins as suspicion towards confession as a tool of Catholic power anticipating modern psychoanalysis becomes a critical genealogy of subjectivity from western antiquity to modernity. To frame Foucault’s dynamic engagement with forms of Christianity, I establish three stages over his last decade as he moves from diagnosing mechanisms of power to analyzing ethics as care of the self. Tracing Foucault’s textual and critical developments enables better analysis of Confessions of the Flesh and affirms methodological possibilities in the study of religion today.
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The fourth and final volume of The History of Sexuality offers the keystone to Michel Foucault’s critique of Western neoliberal societies. Confessions of the Flesh provides the heretofore missing link that ties Foucault’s late writings on subjectivity to his earlier critique of power. Foucault identifies in Augustine’s treatment of marital sexual relations the moment of birth of the modern legal actor and of the legalization of social relations. With the appearance of the modern legal subject, Foucault’s critique of modern Western societies is complete: it is now possible to see how the later emergence of an all-knowing homo œconomicus strips the State of knowledge and thus deals a fatal blow to its legitimacy. The appearance of both the modern legal actor and homo œconomicus makes it possible to fold the entire four-volume History of Sexuality back into Foucault’s earlier critique of punitive and biopolitical power. And it now challenges us to interrogate how we, contemporary subjects, are shaped in such a way as to implicate ourselves—both willingly and unwittingly—in the social order within which we find ourselves and that, through the interaction of knowledge-power-subjectivity, we reproduce.
Chapter
Les aveux de La chair, dernier volume de l’Histoire de la sexualité, fruit de près de huit ans de travail sur le christianisme ancien, est le livre auquel Foucault aura consacré le plus de temps, sans parvenir à l’achever complètement. Le détour par les Pères de l’Église (Tertullien, Augustin, Cassien, etc.) devait contribuer à éclairer le rapport que l’Occident entretient au corps et à ses plaisirs, au croisement de la subjectivité et de la vérité. Publiés posthumément en 2018, déjà traduits en plusieurs langues, Les aveux de la chair révèlent l’étendue des recherches conduites par Foucault sur les premiers siècles chrétiens, que les textes et les cours jusqu’ici connus laissaient à peine deviner. Le présent ouvrage organise une rencontre inédite : les lectures « chrétiennes » de Foucault sont ici interrogées par seize historiens, philosophes et théologiens internationaux, spécialistes de cette période ainsi que de la pensée de Foucault. En quoi l’approche de Foucault renouvelle-t-elle la manière de lire les Pères ? Permet-elle d’aborder autrement la question de la nouveauté apportée par le christianisme dans la culture antique ? Et comment cette nouveauté peut-elle faire sens en philosophie aujourd’hui ? Questions cruciales, non seulement pour l’histoire des idées, mais d’abord et avant tout pour la compréhension de notre actualité.
Book
Ce livre ne s’intéresse – en aucune manière – à ce que Foucault a dit. Et son auteur n’essaie ni de déceler la vérité de l’œuvre, ni d’en reconstruire la systématicité secrète. Il aborde les ouvrages foucaldiens comme des objets fabriqués selon des règles, poursuivant des fins : il veut montrer ce que Foucault a fait de la philosophie, de l’histoire, de la science. En partant du fil conducteur du rapport non exclusif entre vie et concept, rapport que l’on retrouve chez Canguilhem, il s’agit ainsi de revenir aux sources de la pratique foucaldienne de pensée. Quelle forme d’expérience traduit la naissance, l’émergence et la propagation d’un nouveau concept ? Quel est le rapport entre des expériences historiques de pensée et leur conceptualisation par la science, la philosophie, la littérature ? Pourquoi, au cours de ces opérations discursives, avons-nous besoin de vérité ? En reconstruisant le geste de pensée foucaldien à travers l’exemple privilégié de l’histoire des statistiques, on tente moins de faire ouvre de commentaire que de dessiner les traits opératoires d’une machine de pensée qui pourrait nous être utile aujourd’hui, pour étudier le besoin de vérité lié aux pratiques contemporaines de gouvernement. Car la source de la fascination durable que l’ouvre foucaldienne continue d’exercer pourrait bien être précisément ceci : elle n’autorise aucune interprétation qui n’en soit pas une appropriation et une actualisation.
Article
The Specter of the Death of the Author The announcement of an author’s death is a recurrent theme in literature and literary criticism. Such announcements can be studied in the work of Roland Barthes, Michel Foucault, Gilles Deleuze, Claire Parnet and Antoine Compagnon in terms of the failure of prophecy and the manifestos of self-dissolution within the framework of institutional analysis. The specter of death « decomposes » the unity of the social form of« author » and brings out the relations of force which constitute it.