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Ouvrageactescolloque2021 IbnKhaldounCNRST

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Abstract

L’objectif de la présente étude est de déterminer l’influence de la lithologie, comme variable géo-écologique, sur la répartition des principales espèces arborées et arbustives du Moyen Atlas Central, ainsi que sur les caractéristiques dendrométriques des arbres. La superposition de la carte de végétation et la carte géologique a permis de déterminer la répartition des espèces en fonction de la nature lithologique des terrains. Cette relation est testée par la comparaison des caractéristiques de deux peuplements de cèdre de l’Atlas qui se développent sur deux facies lithologiques différents. Les facteurs testés sont la densité, la croissance radiale des arbres, la surface terrière et la croissance en volume. Afin de mieux comprendre cet impact, une étude de caractérisation des sols des deux sites a été effectuée, et les potentiels de séquestration du carbone et de minéralisation de l’azote ont été déterminés. Les résultats obtenus montrent que la répartition spatiale de la végétation ainsi que sa dynamique de croissance sont largement influencées par le facteur lithologique.
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La variabilite de longues series de precipita-tions est etudiee au niveau de differentes regions. L'etude a permis de degager que, meme quand les precipitations sont importantes, leur variabilite est tres accentuee. Elle a egalement permis de degager un certain nombre de modeles pouvant caracteriser cette variabilite. * Spatial and temporal variability of the Moroccan climate and importance of irrigation in improving its potential for rainfed crops 1 Maitre de Conference, Institut Agronamique et Veterinaire Hassan II, B.P. 6202 RABAT-INSTlTUTS-MAROC. 2 Professeur, W. STADIUM n058, University of Arizona-Tucson, ARIZONA 85721, U.S.A.
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Résumé : La sécheresse est le risque naturel le plus pesant sur l'économie du Maroc et son avenir vu ses impacts néfastes sur le secteur agricole qui recrute 40% de la main d'oeuvre du pays. Dans cet article, nous étudions ce phénomène à l'aide des séries pluviométriques mensuelles de quatre stations météorologiques (Fès, Meknès, Taza et Ifrane) nous utilisons l'indice de précipitations normalisé (Standardized Precipitation Index-SPI) calculé sur plusieurs échelles temporelles. Cela nous a permis de caractériser les fluctuations de ce phénomène qui s'est accentué durant les dernières décennies. Nous présentons aussi la corrélation qui existe entre les valeurs de l'SPI qui caractérisent la quantité de la pluviométrie et la sécheresse avec l'indice de l'Oscillation Nord Atlantique comme facteur explicatif de cette variabilité pluviométrique dans la région. Mots clés : la sécheresse, la région de Fès-Meknès, SPI, NAO, série pluviométrique mensuelles.
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Les produits de précipitation issus des satellites, constamment améliorés depuis une vingtaine d'années, font l'objet d'une comparaison dans le Moyen-Atlas (Maroc), tant du point de vue stationnel que spatial à l'échelle d'un bassin-versant. Les résultats des comparaisons montrent une bonne adéquation entre les valeurs satellitales et celles issues d'observations aux stations, avec néanmoins une surestimation de l'ordre 20%. Même si les résultats sont moins bons dans le Moyen-Atlas plissés que dans le tabulaire il est donc possible d'utiliser ces valeurs issues des satellites dans le cadre de travaux sur le cycle de l'eau dans ce secteur. Summary: TRMM and GPM products evaluation using stations observations and results of a spatial quantification model of rainfall over the middle atlas, Morocco. Satellites precipitation products, constantly improved over the past twenty years, are compared in the Middle Atlas (Morocco), both from a stationary and spatial point of view on a basin scale-sided. The results of the comparisons show a good match between the satellite values and those from observations at the stations, with an overestimation of around 20%. Even if the results are less good in the pleated Middle Atlas than in the tabular it is therefore possible to use these satellite values in a work on the water cycle in this sector.
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The high plateaus of eastern Morocco are already suffering from the adverse impacts of climate change (CC), as the local populations’ livelihoods depend mainly on extensive sheep farming and therefore on natural resources. This research identifies breeders’ perceptions about CC, examines whether they correspond to the recorded climate data and analyses endogenous adaptation practices taking into account the agroecological characteristics of the studied sites and the difference between breeders’ categories based on the size of owned sheep herd. Data on perceptions and adaptation were analyzed using the Chi-square independence and Kruskal-Wallis tests. Climate data were investigated through Mann-Kendall, Pettitt and Buishand tests. Herders’ perceptions are in line with the climate analysis in term of nature and direction of observed climate variations (downward trend in rainfall and upward in temperature). In addition, there is a significant difference in the adoption frequency of adaptive strategies between the studied agroecological sub-zones (χ ² = 14.525, p <.05) due to their contrasting biophysical and socioeconomic conditions, as well as among breeders’ categories (χ ² = 10.568, p < .05) which attributed mainly to the size of sheep flock. Policy options aimed to enhance local-level adaptation should formulate site-specific adaptation programs and prioritise the small-scale herders.
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Climatic events caused a total of 1485 deaths and over 562,000 people affected in Morocco from 1990 to 2014. Climate finance is a key factor in the battle against the effects of global climate change. Morocco for its part is engaged in the process of fight against climate change and has established a sustainable development policy based on renewable energies and has contributed financially to the implementation of several climate projects. In our study, we are proposing a solution to increase the global contribution to climate finance based on global GDP.
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L'Afrique de l'Ouest connait depuis plusieurs années de très forte variabilité climatique. Dans le souci de mieux renseigner cette variabilité sur le Bassin de l'Ouémé (le plus grand cours d'eau du Bénin), la présente étude a permis d'évaluer la variabilité par le biais du calcul de l'indice pluviométrique suivant deux approches. Premièrement, le calcul standard par la formule de l'indice de Nicholson montre de forte variabilité des indices ; dans le but d'éliminer ces fortes variabilités, nous avons appliqué la méthode des moyennes mobiles pondérées encore appelée « Filtre passe-bas de Hanning d'ordre 2 ». La série chronologique exploitée est la base des données pluviométriques journalières, sur la période 1930-2011. Ensuite, des tests statistiques d'identification de rupture telles que : la méthode bayésienne de Lee et Heghinian, de Pettitt et de la segmentation de Hubert ont permis d'évaluer la variabilité interannuelle. Ces méthodes ne donnant pas forcement de rupture ou de tendance, elles ont été accompagnées d'une nouvelle, celle de Cross-Entropy qui a permis de déterminer de façon optimale des ruptures ou tendances. Ainsi sur l'ensemble du bassin nous avons globalement identifié trois ruptures à savoir 1950, 1969 et 1988. Enfin l'étude de la variabilité spatiale a permis de dégager les zones les plus humides et l'existence d'un gradient pluviométrique Est-Ouest dans le Nord du Bassin avant la rupture de 1988, et sur l'ensemble du bassin à la reprise de condition humide vers les années 1990. Mots-clés : cross-entropy, variabilité interannuelle, tests de rupture, indice pluviométrique, variabilité spatiale. Abstract Space-time variability of rainfall in the river basin of oueme, Benin West Africa faces for many years remarkable climate variability. In the view to better assess this variability over the largest water basin, the Ouémé basin, in Republic of Benin, this study uses two approaches to compute precipitation indices. First, the standard method using Nicholson index formula reveals a strong variability of indices. The weighted moving means method called "filtre passe-bas de Hanning d'ordre 2" has been used to remove the observed variability. The daily precipitation from 1930 to 2011 is the data set used. Second, statistical tests to identify break such as Lee and Heghinian Bayesien method, Pettitt and Hubert segmentation method helped to evaluate inter-annual variability. 316 Afrique SCIENCE 12(3) (2016) 315-328 Gandomè. Mayeul. L. D. QUENUM et al. Whilst these methods do not result necessarily in break or do not give any tendency, they have been reinforced with the cross entropy method that gave an optimal result. Therefore, over the entire basin, we identified three global breaks at 1950, 1969, and 1988. Finally, the spatial variability study helped to bring out the most humid zones and an easterly precipitation gradient in the North basin and over the whole basin respectively before the 1988 break and at the onset of humid conditions towards 1990.
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Land Use and Land Cover Changes (LULCC) are interrelated with other global processes like global climate change, population growth, land degradation etc. Land use structure of a given area, region is adapted to the requirements of human society since the appearance of human beings. Land use structure is understood as the proportion of land use types orruring in a given area. The objective of the paper is to analyse land use changes in Lake Balaton catchment, Hungary and to present the role of changes of one ecosystem service, i.e. recreation and tourism by quantitative methods, based on spatial and statistical databases of land use and tourism in Lake Balaton catchment, Hungary between 1990 and 2012. The study area is a frequented touristic region of Hungary with variegated and beautiful landscape mosaics. The lake (595 km²) is exposed to various kinds of environmental impacts including agricultural activities and tourism. For the quantification of the Recreation and Ecotourism Ecosystem Service potential the Multi-Criteria Evaluation (MCE) method was applied. Land use changes between 1990 and 2012 were identified from the CORINE Land Cover Database and evaluated from ecological aspects and from the aspect of ecosystem services. The main changes include a continuous increase of the forest area and a remarkable on-going decrease of arable land. Soil erosion as the main land degradation process in the area endangering the quality of ecosystem services. The remarkable decrease of arable fields reduces erosion risk. Ecosystem services provided by each land use type were analysed. The main conclusion is that long term trend of land use changes is beneficial for ecosystem services.
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Spatially and thematically explicit information of wetlands is important to understanding ecosystem functions and services, as well as for establishment of management policy and implementation. However, accurate wetland mapping is limited due to lacking an operational classification system and an effective classification approach at a large scale. This study was aimed to map wetlands in China by developing a hybrid object-based and hierarchical classification approach (HOHC) and a new wetland classification system for remote sensing. Application of the hybrid approach and the wetland classification system to Landsat 8 Operational Land Imager data resulted in a wetland map of China with an overall classification accuracy of 95.1%. This national scale wetland map, so named CAS_Wetlands, reveals that China’s wetland area is estimated to be 451,084 ± 2014 km², of which 70.5% is accounted by inland wetlands. Of the 14 sub-categories, inland marsh has the largest area (152,429 ± 373 km²), while coastal swamp has the smallest coverage (259 ± 15 km²). Geospatial variations in wetland areas at multiple scales indicate that China’s wetlands mostly present in Tibet, Qinghai, Inner Mongolia, Heilongjiang, and Xinjiang Provinces. This new map provides a new baseline data to establish multi-temporal and continuous datasets for China’s wetlands and biodiversity conservation.