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Et si l’Univers était un réseau et que nous en étions ses singularités topologiques? Et si les seuls principes fondamentaux de l’Univers étaient les lois de Newton et de la thermodynamique? (1ère version du livre "vulgarisé", téléchargeable gratuitement)

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Abstract

Un des problèmes fondamentaux de la physique moderne est la recherche de la Théorie du Tout, capable d'expliquer la nature de l'espace-temps, ce qu'est la matière et comment la matière interagit. Il existe de nombreuses propositions comme la "Grande Unification", la Gravité Quantique, la Gravitation Quantique à Boucles, les Théories de Cordes et de Supercordes, la Supersymétrie et la Théorie M.�Cependant, aucune de ces approches n'est capable pour l'instant d'expliquer de manière consistante et en même temps, l'électromagnétisme, la relativité, la gravitation, la physique quantique et les particules élémentaires observées.�En développant une théorie complète de la déformation des réseaux solides en coordonnées d’Euler, on constate que celle-ci peut être utilisée pour décrire l’évolution spatio-temporelle de l’Univers, en lieu et place de la relativité générale. De la sorte, il est suggéré que l’Univers pourrait être un réseau tridimensionnel, élastique et massif, décrit dans l’espace absolu par des coordonnées d’Euler, et que les composants fondamentaux de la Matière Ordinaire pourraient consister en des singularités topologiques de ce réseau, à savoir diverses boucles de dislocation, de désinclinaison et de dispiration. On trouve ainsi que, pour un réseau isotrope obéissant à la loi de Newton, avec des propriétés élastiques très spécifiques, les comportements de ce réseau et de ses défauts topologiques obéissent à « toute » la physique connue. En effet, cette théorie contient intrinsèquement et permet de déduire directement les divers formalismes de l’électromagnétisme, de la relativité restreinte, de la relativité générale, de la gravitation et de la physique quantique. Elle permet aussi de donner des réponses simples à des questions de longue date de la cosmologie moderne, comme l’expansion de l’univers, le big-bang et l’énergie noire. Mais il y apparaît surtout une toute nouvelle charge scalaire, la charge de courbure, qui n’a pas d’analogue dans les théories modernes de la physique, qui fait apparaître une très faible déviation au principe d’équivalence d’Einstein entre masse gravifique et masse d’inertie, et qui permet d’expliquer très simplement la faible asymétrie existant entre matière et antimatière, l’origine de la force d’interaction faible, la formation des galaxies, la disparition de l’antimatière de l’univers, la formation de gigantesques trous noirs au cœur des galaxies ainsi que la nature de la fameuse matière sombre. De plus, en étudiant des réseaux cubiques avec des symétries axiales, on a pu identifier une structure de réseau dont les défauts topologiques en boucles coïncident parfaitement avec la zoologie complexe et le comportement des particules élémentaires, et qui permet d’expliquer physiquement et assez simplement la nature et le comportement asymptotique de la force d’interaction forte..
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