Cette communication s’interroge sur les possibilités pour les séries télévisées dystopiques de fédérer des communautés autour de questions sociétales. Le cas de The Handmaid’s Tale et l’analyse du groupe de discussion officiel Facebook dédié à la série offre la possibilité d’étudier les spécificités d’une communauté en ligne hybride, entre divertissement et militantisme, et révèle l’émergence de manifestations féministes irriguées par la fiction.