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The cognitive benefits of NeuroTracker training across neurodevelopmental disorders: Who benefits from training attention with multiple object-tracking?
Abstract
Poster Presented at Vision Sciences Society
... 27 The ability of the Neurotracker to facilitate brain plasticity has also been supported by a study with elderly individuals who managed to improve their 3D-MOT performance to the level of young adults only after a few 3D-MOT training sessions. 24 Similar results were seen in children with neurodevelopmental disorders 28 where repeated 3D-MOT training translated into better overall attention scores reported on the Conners Continuous Performance Task. ...
The main objective of this research was to determine the safety of using three‐dimensional multiple object tracking (3D‐MOT) with children who experience delayed recovery after sustaining a mild traumatic brain injury (mTBI). 9 youth aged 12 to 17 years old who visited the Montreal Children's Hospital's Trauma Center Concussion Clinic and were experiencing delayed recovery after sustaining a mTBI and being followed by a multimodal approach to mTBI management were recruited. Children were trained over six visits using 3D‐MOT, every 2 to 7 days. Each visit consisted of 3 reaction time calculations on the task, as well as symptom reporting. In addition, at visit 1 and 6, clinical measures specific to mTBI management were administered. Primary outcome measures included safety of a 3D‐MOT training regimen. Safety was measured through reporting of adverse events and tolerability was assessed through protocol deviations and adherence. Results demonstrate that symptomatic children after mTBI can safely perform a 3D‐MOT training regimen.
... Par ailleurs, parmi les différentes explorations possibles de la concentration, sont apparus ces dernières années des outils informatiques. Le neurotracker en est un exemple[23]. Il permet une approche et donc une exploration différente des fonctions exécutives. ...
Résumé
Introduction
Le « Sport Concussion Assessment Tool 5 » (SCAT5) est actuellement le score de référence dans la prise en charge des commotions cérébrales et fait l’objet d’une actualisation régulière par un comité d’experts ; la dernière en date s’est faite en 2016. Cliniquement, le syndrome post-commotionnel est le principal élément permettant le suivi. L’objectif de notre étude était d’évaluer si le score SCAT5 est prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Les sportifs victimes d’une commotion cérébrale étaient vus en consultation à 48–72 h post-traumatisme, consultation au cours de laquelle était établi le score SCAT5. Le suivi de ces sportifs se faisait jusqu’à disparition des symptômes. Puis, nous avons étudié la corrélation entre ce score SCAT5 à 48 h et la durée du syndrome post-commotionnel.
Résultats
Trente-quatre patients ont été inclus. Le score SCAT5 est corrélé (R = − 0,38) significativement (p = 0,026) à la durée du syndrome post-commotionnel. Les deux seuls items corrélés de façon significative avec la durée du syndrome post-commotionnel sont : la sévérité des symptômes et la concentration (respectivement R = 0,37 et R = − 0,5).
Conclusion
Le score SCAT5 s’avère prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel. Cette corrélation est cependant modérée. Nous observons que la corrélation la plus importante concerne l’item concentration, ce qui pousserait à davantage développer cette évaluation.
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