Article

Retail store image formation and retrieval: A content analysis including effects of music and mood

Authors:
To read the full-text of this research, you can request a copy directly from the author.

Abstract

Based on the premise that there is considerable opportunity for improvement in measuring retail store image, this dissertation uses content analysis to investigate types of information used to both form images of a retail store and retrieve those images from memory at a later time. The impact of mood on forming and retrieving positive or negative store images is also examined, as are the effects of the happy/sad dimensions of music.^ The results of the hypotheses suggest that subjects use a greater proportion of attribute-based comments when forming images, but a greater proportion of global comments were elicited when subjects retrieved their store images from memory. Results also indicate that entry mood does have a relationship with whether an image will be positive or negative when formed, and that exit mood has a relationship with whether a positive or negative image is retrieved from memory.^ It was found that happy/sad music treatments did not have statistically significant relationships with positive/negative moods, but subjects exposed to happy music did have a greater intention to shop than did those exposed to sad music. However, the perceptions of whether music heard was happy or sad were strongly related to positive or negative images.^ Utilizing the methodology discussed in this study, particularly the use of a videotape stimulus, researchers should be able to more efficiently and accurately measure store image. This should enable retail managers to make more informed decisions about variables which influence image. This dissertation suggests that a consumer's mood is related to images formed, and that retail management must foster positive moods in customers. Happy/sad music perceptions are also shown to be one important controllable variable that can influence whether images formed and retrieved are positive or negative.

No full-text available

Request Full-text Paper PDF

To read the full-text of this research,
you can request a copy directly from the author.

... Lorsque le consommateur ne peut pas évaluer la qualité intrinsèque des produits ou n'est pas en mesure de se référer à son expérience passée avec le produit ou l'enseigne, il réalise des inférences à partir des attributs extrinsèques du produit (Pinson, 1986 ;Zeithaml, 1988) et de son environnement d'achat (Keaveney et Hunt, 1992 ;Broekemier, 1993). Cette réaction a été mise en évidence sur le champ de la musique d'ambiance. ...
... • + avec musique congruente vs. non congruente (Broekemier, 1993) • + avec musique gaie vs. triste (Broekemier, 1993) • + avec musique stimulante vs. sans musique vs. musique relaxante (Mattila et Wirtz, 2001) • + avec musique plaisante vs. peu plaisante (Dubé et Morin, 2001) • + avec odeur plaisante vs. sans odeur (Spangenberg, Crowley et Henderson, 1996 ;Leenders, Smidts et Langeveld, 1999) • + avec odeur stimulante vs. sans odeur vs. odeur relaxante (Mattila et Wirtz, 2001) • + avec musique de variétés vs. classique et new age (Yalch et Spangenberg, 1993) • + avec odeur plaisante vs. sans odeur (Spangenberg, Crowley et Henderson, 1996 ;Leenders, Smidts et Langeveld, 1999) • + avec couleurs sombres vs. autres (Damhorst et Reed, 1986) • + avec musique classique vs. (musique pop vs. musique easy listening vs. absence de musique), North et Hargreaves, 1998 • + avec musique classique vs. musique easy listening vs. silence (North et Hargreaves, 1998) • + avec musique vs. absence de musique (North et Hargreaves, 1998) • + avec musique pop vs. (musique classique vs. musique easy listening vs. absence de musique), North et Hargreaves, 1998 • + avec absence de musique vs. présence de musique (North et Hargreaves, 1998) • + avec musique plaisante avec faible conscience de la musique vs. musique non plaisante (Gorn, Goldberg et Basu, 1993) • + avec musique au volume élevé, puis faible, puis sans musique (Cameron, 1996) • + musique plaisante vs. musique non plaisante (Hui, Dubé et Chebat, 1997) • + avec musique non familière vs. familière (Yalch et Spangenberg, 1990) • + sans odeur vs. odeur plaisante (Spangenberg, Crowley et Henderson, 1996) Légende : un signe « + » a été affecté aux relations positives, un signe « -» aux relations négatives. ...
... • + avec musique congruente vs. non congruente (Broekemier, 1993) • + avec musique gaie vs. triste (Broekemier, 1993) • + avec musique stimulante vs. sans musique vs. musique relaxante (Mattila et Wirtz, 2001) • + avec musique plaisante vs. peu plaisante (Dubé et Morin, 2001) • + avec odeur plaisante vs. sans odeur (Spangenberg, Crowley et Henderson, 1996 ;Leenders, Smidts et Langeveld, 1999) • + avec odeur stimulante vs. sans odeur vs. odeur relaxante (Mattila et Wirtz, 2001) • + avec musique de variétés vs. classique et new age (Yalch et Spangenberg, 1993) • + avec odeur plaisante vs. sans odeur (Spangenberg, Crowley et Henderson, 1996 ;Leenders, Smidts et Langeveld, 1999) • + avec couleurs sombres vs. autres (Damhorst et Reed, 1986) • + avec musique classique vs. (musique pop vs. musique easy listening vs. absence de musique), North et Hargreaves, 1998 • + avec musique classique vs. musique easy listening vs. silence (North et Hargreaves, 1998) • + avec musique vs. absence de musique (North et Hargreaves, 1998) • + avec musique pop vs. (musique classique vs. musique easy listening vs. absence de musique), North et Hargreaves, 1998 • + avec absence de musique vs. présence de musique (North et Hargreaves, 1998) • + avec musique plaisante avec faible conscience de la musique vs. musique non plaisante (Gorn, Goldberg et Basu, 1993) • + avec musique au volume élevé, puis faible, puis sans musique (Cameron, 1996) • + musique plaisante vs. musique non plaisante (Hui, Dubé et Chebat, 1997) • + avec musique non familière vs. familière (Yalch et Spangenberg, 1990) • + sans odeur vs. odeur plaisante (Spangenberg, Crowley et Henderson, 1996) Légende : un signe « + » a été affecté aux relations positives, un signe « -» aux relations négatives. ...
Article
Full-text available
This paper's objective is to present (1) theoretical knowledge on the influence of atmosphere on shopping behavior and (2) retailer practices to shed some light on a new type of marketing: retail store sensory marketing. L'objectif de cet article est de mettre en parallèle les connaissances acquises dans le milieu académique sur l'influence des différents facteurs d'ambiance sur les réactions des clients en magasin avec les pratiques des distributeurs, afin de présenter un marketing spécifique et émergent: le marketing sensoriel du point de vente.
... Au regard des différentes définitions proposées dans la littérature, l'image du magasin comprend, tout d'abord, une dimension cognitive relative à ses attributs physiques ou aux croyances du consommateur vis-à-vis du magasin (Golden et Zimmer 1988 ;Lindquist 1974-75 ;Broekemier 1993 ;Mazurski et Jacoby 1986). Ensuite, l'image du magasin comprend des éléments affectifs (Mazurski et Jacoby 1986) ou émotionnels (Broekemier 1993). ...
... Au regard des différentes définitions proposées dans la littérature, l'image du magasin comprend, tout d'abord, une dimension cognitive relative à ses attributs physiques ou aux croyances du consommateur vis-à-vis du magasin (Golden et Zimmer 1988 ;Lindquist 1974-75 ;Broekemier 1993 ;Mazurski et Jacoby 1986). Ensuite, l'image du magasin comprend des éléments affectifs (Mazurski et Jacoby 1986) ou émotionnels (Broekemier 1993). ...
... A l'origine considérée comme un ensemble statique d'attributs spécifiques (Golden et Zimmer 1988 ;Martineau 1958 ;Pessemier 1980 ;Lindquist 1974-75), ou comme une impression globale du consommateur vis-à-vis du magasin (Dichter 1985), l'image du magasin est désormais appréhendée comme le résultat d'un processus cognitif chez le consommateur (Broekemier 1993 ;Keaveney et Hunt 1992 ;Mazursky et Jacoby 1986 ;Pontier 1988) qui résulte d'une acquisition de connaissances (Hirschman 1981). Cette vision plus large de l'image du magasin permet de mieux comprendre ce que le magasin représente dans l'esprit du consommateur. ...
... Lorsque le consommateur ne peut pas évaluer la qualité intrinsèque des produits ou ne peut pas se référer à son expérience passée avec le produit ou l'enseigne, il réalise des inférences à partir des attributs extrinsèques du produit (Zeithaml, 1988) et de son environnement d'achat (Keaveney et Hunt, 1992 ;Broekemier, 1993). Cette réaction a été mise en évidence sur le champ de la musique d'ambiance. ...
Conference Paper
Full-text available
The aim of this paper is to compare the knowledge, acquired in the academic environment, of the influence of the different factors of atmosphere on the customers' reactions with the distributors' practices in order to make a synthesis of a specific and emergent marketing : the sensory marketing of the store.
... Lorsque le consommateur ne peut pas évaluer la qualité intrinsèque des produits ou n'est pas en mesure de se référer à son expérience passée avec le produit ou l'enseigne, il réalise des inférences à partir des attributs extrinsèques du produit et son environnement d'achat (Daucé et Rieunier 2002). Il y a alors un transfert des attributs liés au style des musiques vers les attributs de la marque (Broekemier 1993). Les clients vont par exemple rester plus longtemps dans un magasin lorsque la musique qui y est diffusée est en adéquation avec l'image du magasin (Winther 2012). ...
Thesis
Full-text available
Les marques cherchent à communiquer leur identité à travers de nouveaux vecteurs d’émissions. Aujourd’hui, l’identité sonore des marques concerne principalement les musiques associées aux publicités ou diffusées sur les points de vente, ainsi que des éléments de communication comme la voix ou les jingles. Dans cette thèse, nous nous intéressons au design sonore des produits et équipements en tant que vecteur de l’identité de marque. Comment prendre en compte l’identité de la marque dans les spécifications communiquées à un designer sonore ? De quelle marge de manœuvre dispose-t-on pour véhiculer une identité par un son produit par un objet mécanique ou diffusé sur un support numérique ? Nous proposons une méthodologie de design sonore identitaire permettant de traduire les valeurs d’une marque en termes sonores, et de véhiculer l’identité sonore ainsi définie sur une série d’objets caractéristiques de la marque. A partir d'une analyse d'un grand nombre d'études sur la perception des sons, nous avons établi un lexique sonore de 35 termes adapté à la description des différentes caractéristiques du son. Nous proposons d’utiliser ce lexique ainsi que deux outils de communication, des planches de tendances et un « jeu de cartes sonores », pour traduire les valeurs identitaires d’une marque en termes sonores compréhensibles par tous les acteurs du projet en design sonore, qu’ils aient ou non une expertise dans le domaine du son. Nous proposons également une méthode d’analyse fonctionnelle permettant de traduire à l’aide du lexique les contraintes techniques liées à la nature ou à la fonction de l’objet choisi pour véhiculer l’identité. Cette méthode repose sur une expérience originale, l'indexation sonore, inspirée de l'analyse sensorielle. La méthodologie proposée a été appliquée au design de l’identité sonore de la marque SNCF véhiculée à travers différentes sources (alarmes, composteurs, tableau d’affichage, validations électroniques…). L’originalité de nos recherches réside dans leur caractère interdisciplinaire, reliant les domaines du marketing, du design, de l’analyse sensorielle et de la perception auditive. Ces travaux ont permis de construire et de tester des méthodologies et outils facilitant la communication dans le design sonore, et ont montré que l’identité des marques pouvait s’exprimer à travers la conception des sons de leurs produits et équipements.
... La musique, notamment, a un impact sur l'intention d'achat (E.-R., Spangenberg et alii., 1996 ; J., Alpert et M., Alpert, 1990 ; G.-M., Broekemier, 1993 ...
... Ce tableau récapitule les effets psychologiques que certains éléments de la musique, peuvent créer chez le client. Tableau 7: Impact de la musique sur l'expérience attitudinale Toutefois, certains humours jugés négatives peuvent avoir des effets positifs sur l'intention d'achat, comme la musique triste qui influence positivement l'achat d'une carte postale pour un ami lointain (Alpert and Alpert, 1990), alors qu'elle exerce un effet contraire sur l'achat de vêtement (Broekemier, 1993). ...
Article
Full-text available
Les effets de la musique sur le comportement du consommateur sont vérifiés maintes fois (Alpert and Alpert, 1990), et corollairement, sont utilisés depuis longtemps dans les techniques du marketing. Dans les années soixante, par exemple, des jingles sont devenus très populaires à la télévision et à la radio. Depuis, le son a trouvé une place encore plus importante dans l'offre commerciale et a donné lieu à ce qu'on appelle le marketing sonore ou musical. Les premiers travaux de recherche dans la matière consistaient à déterminer s'il existait une relation entre les stimuli musicaux et le comportement d'achat. Une fois l'existence de cette relation établie, c'est la compréhension des relations entre les différents éléments de la musique et les réponses comportementales du consommateur qui devient au centre des préoccupations de la recherche à partir du début des années 1990 (Rieunier, 2000). Dans cet article, nous privilégions cette deuxième piste et poursuivons l'analyse, déjà entamée, des avantages de l'utilisation de la musique dans le lieu de vente en général et le restaurant en particulier (Assadi, 1992) : plaisir d'entendre de la musique, créer un climat intimiste pour chaque table en masquant les conversations, construire une ambiance, donner de l'harmonie au décor, animer le personnel, etc. A cet égard, les effets des différents éléments de la musique sur le comportement du client seront décortiqués. Les concepts de la littérature théorique seront ensuite confrontés aux résultats d'une enquête de terrain auprès des professionnels de la restauration. L'objectif consiste à proposer finalement l'esquisse d'un cadre théorico-pratique pour la mise en marche du marketing sonore dans le restaurant.
... Lorsque le consommateur ne peut pas évaluer la qualité intrinsèque des produits ou ne peut pas se référer à son expérience passée avec le produit ou l'enseigne, il réalise des inférences à partir des attributs extrinsèques du produit (Zeithaml, 1988) et de son environnement d'achat (Keaveney et Hunt, 1992 ;Broekemier, 1993). Cette réaction a été mise en évidence sur le champ de la musique d'ambiance. ...
Article
Full-text available
Résumé L'objectif de cet article est de mettre en parallèle les connaissances acquises dans le milieu académique sur l'influence des différents facteurs d'atmosphère sur les réactions des clients avec les pratiques des distributeurs afin de faire une synthèse sur un marketing spécifique et émergent : le marketing sensoriel du point de vente. Abstract The aim of this paper is to compare the knowledge, acquired in the academic environment, of the influence of the different factors of atmosphere on the customers' reactions with the distributors' practices in order to make a synthesis of a specific and emergent marketing : the sensory marketing of the store.
Article
Full-text available
l'etude de l'influence de la musique d'ambiance sur les reponses de l'acheteur en magasin est un champ de recherche en pleine emergence. Cet article resume l'ensemble des resultats obtenus par les chercheurs, revele les defis methodologiques auxquels ils doivent faire face, et souligne les differentes voies de recherches qu'il reste a exploiter.
ResearchGate has not been able to resolve any references for this publication.