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Portraits interactifs et enjeux radiophoniques. L’interface webdoc, nouveau support de l’oralité ?

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La radio change ! La radio se mêle aux autres médias, et les interfaces réclament désormais un design d'interaction adapté. Mais reste-t-il encore quelque chose des spécificités de la radio ? Du flux et du principe d'écoute notamment ? Quelles réponses le design d'interaction peut-il apporter à ces questions ? Les interfaces webdoc peuvent-elles porter l'oralité des documentaires radiophoniques ?
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Portraits(interactifs(et(enjeux(radiophoniques(
L'interface(webdoc,(nouveau(support(de(l'oralité(?(
Mots clés : portraits, interactivité, interface, documentaire, journalisme, mutation
Sébastien ALLAIN, chercheur associé au TECFA
Docteur en sciences de l’information-communication et en sciences de l’éducation
29 avenue Léon Gambetta 92120 Montrouge
sebastien@apt-a.com
+33 607 369 209
Carine BEL, agence carinebelstudio
Journaliste et conceptrice rédactrice indépendante
4 rue de la tour, 74940 Annecy-le-Vieux
carinebelstudio@gmail.com
+33 676 321 833
Introduction(
La radio change ! La radio se mêle aux autres médias, et les interfaces réclament désormais un design
d'interaction adapté. Mais reste-t-il encore quelque chose des spécificités de la radio ? Du flux et du principe
d'écoute notamment ? Quelles réponses le design d'interaction peut-il apporter à ces questions ? Les interfaces
webdoc peuvent-elles porter l'oralité des documentaires radiophoniques ?
Contexte(
En janvier 2014, lors du 5e Forum Blanc1, Christilla Huillard-Kann, directrice adjointe du Mouv' et des nouveaux
médias à Radio France, retraçait l'évolution de la maison : "D’abord producteur et diffuseur de flux audio
linéaires, Radio France travaille maintenant le délinéarisé, les données associées, le stockage, la valorisation,
l’interactivité, l’écoute à la demande, etc". Un constat s'impose : s’il y a bien chez Radio France des chantiers
spécialement dédiés au son tels que les enregistrements de concert, la mise à disposition d’archives, l'utilisation
de Soundcloudou des chantiers dévolus au support du son tels que la RNT, l'écoute binaurale, l'écoute sur
player 5.1, la chaîne tend vers un "enrichissement" du son via d’autres médias ou l’enrichissement des autres
médias par le son. Cet enrichissement passe notamment par les caméras robotisées en studio, l'utilisation des
smartphones pour les reportages, les coproductions et codiffusions de vidéos ou encore le chantier télévision
connectée. En somme, Radio France s’investit dans des propositions multimédias la spécifici de la radio
n’est pas affirmée, rejoignant ces consœurs télévisuelles France Télévision et Arte ou de l’opérateur Orange dans
une stratégie de marque la charte éditoriale prime sur la priorité donnée à un média ou la compétence
historique de chacun.
1 Convention internationale réunissant les professionnels du transmédia ou crossmédia qui accueille pour la
1ère fois Radio France parmi ses intervenants.
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En contrepoint de ce constat, cet article rend compte d'un projet étudiant nommé Bruit Blanc, inscrit au cœur du
Forum Blanc, où les étudiants du Master 2 pro EIDI2 se sont vus confier pour la 2e année consécutive, la
conception de portraits interactifs de quatre personnalités du transmédia (cf. Figure 1). Contrairement à l’édition
2013 où le projet reposait sur des tournages vidéos, l’accent a été mis cette année sur le média son. L’objectif
pour les élèves était de se documenter en amont, puis de suivre et d’interviewer ces personnalités tout au long de
l’événement, afin de dresser leur portrait et dessiner en toile de fond, le Forum Blanc à travers leur perception.
L’objectif pour nous en tant que coordinateurs était d’explorer avec les étudiants la manière de servir le média
son via les autres médias, et plus spécifiquement d’explorer la possibilité de restituer un portrait sonore, dans une
démarche documentaire et journalistique inspirée par la radio et portée par une interface visuelle type webdoc.
Figure 1. Les quatre personnalités du projet Bruit Blanc
Cadre(théorique(
Nos sources théoriques font retour sur le cinéma dont s’inspirent les modes de classification du documentaire
radiophonique, et dont s'inspire également le webdoc. Suivant ce cadre de référence, le reportage au sens
journalistique se distingue du documentaire par une série de couples antagonistes : transmission d'une
information / création d’un langage cinématographique ; transmission de faits / transmission de la pensée ;
prétention à l'objectivité / subjectivité assumée ; usage d'effets de réalité / choix esthétiques et éthiques
(Kilborne, 2008). Toutefois certains traits caractéristiques leur sont communs et la frontière est parfois levée par
les spécialistes eux-mêmes. Selon Niney (2009) notamment, qu’il s’agisse de "reportage, histoire ou
documentaire, chacun est censé pondre pour soi et de soi, à commencer par le réalisateur". Dans le cas de la
radio, c’est le journaliste qui devient documentariste et le trait différenciant du documentaire est, selon Deleu
(2013), des conditions de non-direct. Le rapprochement de ces deux champs (film documentaire et radio) via
l'interface webdoc invite à se préoccuper de la relation à l’interviewé. Nous pointons ici pour y revenir 2 modes
de production en particulier, dit "interaction" et "observation" (Nichols, 1991 ; Deleu, 2013), dont la distinction
fondamentale est respectivement la présence ou l’absence signifiée de l’instance médiatique.
Proposition(
Le cadre théorique ainsi posé, nous arrivons enfin à notre question principale et une proposition sous forme
d'hypothèse. Notre principale interrogation est de savoir comment préserver le principe d’écoute tout en distillant
2 Master 2 pro EIDI - Écriture interactive et design d’interaction, formation de la CCI Haute-Savoie en
collaboration avec l’IAE Savoie Mont-Blanc.
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une consultation délinéarisée via une interface type webdoc. La question subsidiaire est de savoir quel rôle le
design d’interaction peut assumer dans le dispositif d’écoute. Notre hypothèse est que le design d’interaction
peut favoriser un aller-retour entre écoute pure et manipulation visuelle, d'une part en préservant un flux pouvant
parcourir l’ensemble du portrait, assurant ainsi une écoute continue ; et d'autre part en incorporant des éléments
sonores pour repérer les points d’interaction et engager une exploration intentionnelle. En résumé la perspective
est d’avoir une piste audio principale portant le contenu et une piste additionnelle formée avec des jalons
sonores.
Le cahier des charges don aux étudiants peut se résumer ainsi :
Un découpage de chaque portrait suivant 4 thématiques,
Une navigation selon des chemins multiples, à la fois au sein des thématiques et entre ces thématiques,
Une durée de l’expérience utilisateur de 1min et 4min, au sein d’une durée totale de 30min de montages
Et enfin, utilisation du logiciel Klynt, jusque-dévolu aux webdoc utilisant l'image comme matériau
principal.
Résultats(
Alors quels résultats pour préserver le principe d’écoute ? À la suite de plusieurs mois de conception et de
réalisation, nous présenterons ici les projets finalisés en mettant en exergue trois stratégies. Première stratégie, le
portrait de Camille Duvelleroy est construit à partir de quatre de ses projets professionnels. Ce découpage nous
amène à parler de "chapitrage", d'autant qu'au sein de chaque projet, les séquences sont elles-mêmes chapitrées
(point blanc) (cf. Figure 2). On notera que les séquences sont parsemées de contenus additionnels et de renvois
vers les autres projets, répondant en cela au cahier des charges. La lecture est séquentielle, car le flux principal
est suspendu lors de la consultation des séquences additionnelles.
Figure 2. Portrait de Camille Duvelleroy
Autre exemple, la structure du portrait de Paul Young est assez similaire. La différence réside dans le fait que les
parcours sont ici formalisés, à la manière d’un réseau, d’une structuration "synaptique" (cf. Figure 3). Toutes les
séquences sont mises à plat via une matrice et les connexions assurent la cohérence entre les séquences
cliquables. Depuis l’entrée "Network" présentée ci-dessous, deux autres séquences reliées sont cliquables pour
poursuivre l’écoute. Les connexions renvoient soit vers la même thématique, soit vers les trois autres, ce qui
nous amène à parler d’une lecture "trans-thématique".
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Figure 3. Portrait de Paul Young
Dernière stratégie présentée ici avec le portrait de Pierre-Mathieu Fortin, la lecture donne lieu à une écoute et
une navigation désolidarisées. La partie écoute est à droite dans la grande colonne et la partie navigation dans les
deux colonnes de gauche (cf. Figure 4). On retrouve le principe d’une ligne de temps comme dans le portrait de
Camille Duvelleroy, mais ici le flux audio se poursuit lors de l’exploration des contenus textuels (des liens).
Figure 4. Portrait de Pierre-Mathieu Fortin
Au-delà de ces stratégies, comment les autres médias viennent-ils enrichir le son dans ces interfaces de type
webdoc ? Très vite, le choix s’est porté sur des interfaces épurées, écartant la présence de photos ou de vidéos
qui pourraient venir contrarier la priorité donner au son, et validant l’usage du texte pour guider l’utilisateur.
Intuitivement, les groupes ont développé un travail graphique centré sur le symbolique - visuels créés à partir de
formes géométriques et leurs significations : rond, croix ou viseur du photographe (cf. Figure 5 et 6), le
monochrome, fonds unis de couleurs pour porter l’écoute (cf. Figure 7) ou le dégradé (cf. Figure 8), faisant écho
à la notion de flux et d’amplitude sonores.
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Figure 5 et 6. Usage du visuel, le symbolique pour l’univers de l’interviewé
Quant au média texte ? Il s’est avéré précieux pour signifier des parcours et signaler des points d’interactions
(cf. Figure 7 et 8). Dans chacun des portraits, on retrouve, des textes-titres signifiant l’intention des auteurs ou
introduisant une narration"Camille au pays du transmédia", "Écouter le hors-champs", "A little dive info Paul
Young’s mind", "Storytelling d’un parcours éclectique" - des textes-boutons servant de repères informatifs, des
textes-citations portant la voix de l’interviewé, comme une façon de scander son discours.
Figure 7 et 8. Usage du texte pour guider l’utilisateur dans le contenu sonore
Limites(et(perspectives(
À l'issue de ce projet, quelles conclusions tirons-nous ? Qu’elles sont les limites et perspectives du média son
dans l'environnement multimédia ?
Le média son est difficile à appréhender. Nous avons le réflexe de l’image ! les étudiants se sont avérés
moins à l’aise dans la manipulation du son, média plus abstrait et donc plus exigeant en attention et en
concentration.
Nous avons rencontré des difficultés pour appréhender certains concepts en terme sonore comme celui
du hors-champ.
Enfin, rappelons que ces propositions de portraits interactifs sonores sont encore à tester auprès
d’utilisateurs pour vérifier nos hypothèses.
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Reste que le son captive ! Nous avons été surpris par la curiosité soulevée par ce projet de portraits sonores, tant
du côté des auteurs que celui des diffuseurs que nous avons pu côtoyer. L’usage du son en terme d’oralité et de
flux est un questionnement de plus en plus abordé. Alors le son serait-il un média propice à l’interaction ? Pour
le philosophe Nancy (2002), "l’image serait tendancieusement mimétique et le son tendanciellement méthexique
c’est-à-dire dans l’ordre de la participation, du partage ou de la contagion, ce qui ne signifie pas non plus
que ces tendances ne se recoupent nulle part" (p. 25). Si les enjeux radiophoniques ont été cette année encore
minoritaires dans les conférences du Forum Blanc, la question de l'écoute aura concerné l'ensemble des projets
transmédia et sera finalement au cœur de ces portraits qui le restitue.
Conclusion(en(matière(de(design(d'interaction(
À l’heure du webdoc, i-doc, docu-game, news game ou encore serious game, dans un contexte les formats
s’hybrident, où les récits débordent les plateformes et où la consultation de l’information est ubiquitaire, la radio
a tout autant à s’inspirer des usages émergents, qu’à affirmer sa spécificité : son matériau principal, la
prépondérance de l’audio sur les autres médias, en un mot son oralité. Alors pour conclure, quelles conséquences
pour le design d’interaction ? Tout d’abord il faut constater la transposition des postures, le documentariste
devient designer d’interaction et l’auditeur un utilisateur, un spect-acteur (cf. Figure 9). Mais il faut ensuite
constater que cet utilisateur devient également l’objet du dispositif d’écoute, c'est-à-dire l’interviewé. En effet,
l’interaction renverse les définitions données par notre cadre théorique et focalise non plus sur le temps de la
production, mais celui de la réception. Le choix de tous les groupes de ne pas signifier la présence du
documentariste (l’instance médiatique) met l’accent sur cette interaction côté utilisateur. En l’occurrence,
l’utilisateur est écouté par le programme lors de ses interactions. Il peut être aussi écouté par le designer
d’interaction qui récupère des traces d’activités. Enfin, il peut être écouté par d’autres utilisateurs, via
l’utilisation de moyens de communication additionnels, de partages d’expériences, témoignages, autoportrait !
En somme, les designs d’interaction proposés par les étudiants du Master 2 EIDI préservent et renouvellent à la
fois le principe d’écoute.
Figure 9. Transposition des postures 3
(
3 Ce tableau s'inspire de travaux de thèse concernant les postures multiples de l'utilisateur au sein des jeux
sérieux documentaires ou serious doc game (Allain, 2013).
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Remerciements(
En tant que coordonnateurs du projet Bruit Blanc, Sébastien ALLAIN [ashm] et Carine BEL tiennent à remercier
Patrick Eveno et Christelle Rony de CITA pour leur confiance renouvelée, Sabine Demri et Ghislaine Chabert de
la CCI Formation et de l'IAE Savoie Mont-Blanc qui dirigent le Master 2 EIDI, l'ensemble des intervenants du
projet, Florent Pitiot (conception sonore), Thierry Morlet (ergonomie), Pierre-Alexandre Cavé (intégration
Klynt) et bien entendu les étudiants pour leur travail et leur implication.
Comment(citer(cet(article(?(
Allain S., Bel C., (2014). Portraits interactifs et enjeux radiophoniques, l'interface webdoc, nouveau support de
l'oralité ? 7e Colloque International du GRER "Information et journalisme radiophonique dans l'ère du
numérique", 20 et 21 mars, Strasbourg
Bibliographie(
Allain S. (2013). Serious game et perception du réel!: lecture documentarisante et potentiel cognitif. Thèse des
Universités de Genève et Grenoble, Disponible à l’adresse : http://bit.ly/seriousdocgame
Antheaume A. (2013). Le Journalisme numérique Presses de Sciences Po, 192 p.
Cimelière O. (2011). Journalistes, nous avons besoin de vous ! Edicool, 237 p.
Christoffel D. (2009). Utopies délinéaires, Colloque international Vers la post radio,
26 au 28 novembre 2009, Paris
Cyrulnik N. (2008). Représenter le monde et agir avec lui : la méthode du documentaire de création. Thèse de
l’Université de Sud Toulon Var
Deleu C. (2013). Le documentaire radiophonique. Paris!; Bry-sur-Marne, L’Harmattan!; INA
Deshays D. (1999). De l'écriture sonore, Entre/vues
Kilborne Y. (2008). L’expérience documentaire. Approche communicationnelle du cinéma de réalité. Thèse de
l’Université de Paris 8
Nancy J-L. (2002). À l’écoute, Galilée, 85 p.
Nichols B. (1991). Representing Reality: Issues and Concepts in Documentary, Indiana University Press, 313 p.
Niney F. (2009). Le documentaire et ses faux-semblants. Klincksieck, 207 p.
Portraits interactifs réalisés en 2013 par les élèves du Master 2 EIDI : http://bit.ly/Au-Blanc2013
Portraits interactifs réalisés en 2014 par les élèves du Master 2 EIDI : http://bit.ly/bruit-blanc
Saint-Martin D., Crozat S., Guglielmone I. et Bottini T. (2009). Écouter, voir. Radio & hypermédia, Colloque
international Vers la post radio, 26 au 28 novembre 2009, Paris
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Thesis
Full-text available
Le serious game d'apprentissage se doit de lier la pratique du jeu à la pratique métier. L'enjeu concerne les concepteurs, les responsables de formation ou responsables des ressources humaines, tous intéressés par la transmission ou l'évaluation des compétences. Mais alors que les serious games convoquent les notions de fiction, d'immersion, de réalisme ou encore de référentialité, ils réactivent des problématiques rencontrées par le cinéma documentaire. Cette thèse propose que les théories et pratiques documentaires puissent servir l'intention pédagogique pour favoriser l'acquisition de nouvelles compétences chez l'utilisateur. Sur le plan cognitif, l'objectif est d'explorer l'apprentissage lié à la confrontation de points de vue divergents (conflit sociocognitif). L'objectif communicationnel associé est d'expliquer la construction d'un interlocuteur capable d'opposer un tel point de vue à l'utilisateur. Notre recherche aboutit à une "grammaire narrato-cognitive" permettant de ne plus cantonner la compétence visée dans la fiction, mais de l'étendre de manière réflexive aux énonciateurs réels.
Article
Ce travail propose une réflexion sur un nouveau média : la radio enrichie, une remédiation entre l’audition de la radio, grand média classique et les possibilités de navigation et d’interactivités proposées par le Web. A partir de la présentation d’un exemple d’applications du logiciel Scenari 2Web radio sur une émission de radio de la série « 2000 ans d’Histoire » titrée Les Droits de l’Homme, nous nous interrogeons sur les potentialités et les limites de ces écritures numériques dont les caractéristiques sont : la présence prédominante et stable de la bande sonore et sa fragmentation, médiatisés par l’écran et « enrichie » par des images, du texte, des archives, des données actualisables et les possibilités offertes par l’interaction.
Représenter le monde et agir avec lui : la méthode du documentaire de création
  • Natacha Cyrulnik
Cyrulnik N. (2008). Représenter le monde et agir avec lui : la méthode du documentaire de création. Thèse de l'Université de Sud Toulon Var
Portraits interactifs et enjeux radiophoniques, l'interface webdoc, nouveau support de l'oralité ? 7e Colloque International du GRER "Information et journalisme radiophonique dans l'ère du numérique
  • S Allain
  • C Bel
Allain S., Bel C., (2014). Portraits interactifs et enjeux radiophoniques, l'interface webdoc, nouveau support de l'oralité ? 7e Colloque International du GRER "Information et journalisme radiophonique dans l'ère du numérique", 20 et 21 mars, Strasbourg Bibliographie Allain S. (2013). Serious game et perception du réel : lecture documentarisante et potentiel cognitif. Thèse des Universités de Genève et Grenoble, Disponible à l'adresse : http://bit.ly/seriousdocgame
Serious game et perception du réel : lecture documentarisante et potentiel cognitif Thèse des Universités de Genève et Grenoble, Disponible à l'adresse : http://bit.ly/seriousdocgame Antheaume A
  • S Allain
Allain S. (2013). Serious game et perception du réel : lecture documentarisante et potentiel cognitif. Thèse des Universités de Genève et Grenoble, Disponible à l'adresse : http://bit.ly/seriousdocgame Antheaume A. (2013). Le Journalisme numérique Presses de Sciences Po, 192 p.
Le documentaire radiophonique. Paris ; Bry-sur-Marne, L'Harmattan
  • C Deleu
Deleu C. (2013). Le documentaire radiophonique. Paris ; Bry-sur-Marne, L'Harmattan ; INA Deshays D. (1999). De l'écriture sonore, Entre/vues
Le documentaire et ses faux-semblants. Klincksieck, 207 p. Portraits interactifs réalisés en 2013 par les élèves du Master 2 EIDI : http://bit.ly/Au-Blanc2013 Portraits interactifs réalisés en 2014 par les élèves du Master 2 EIDI : http://bit.ly/bruit-blanc Saint
  • F Niney
  • D Martin
  • S Crozat
  • I Guglielmone
  • T Et Bottini
Niney F. (2009). Le documentaire et ses faux-semblants. Klincksieck, 207 p. Portraits interactifs réalisés en 2013 par les élèves du Master 2 EIDI : http://bit.ly/Au-Blanc2013 Portraits interactifs réalisés en 2014 par les élèves du Master 2 EIDI : http://bit.ly/bruit-blanc Saint-Martin D., Crozat S., Guglielmone I. et Bottini T. (2009). Écouter, voir. Radio & hypermédia, Colloque international Vers la post radio, 26 au 28 novembre 2009, Paris