Résumé On a donné seize mesures de “persévération” à 78 étudiants universitaires. L'intercorrélation moyenne entre ces mesures a été pratiquement de nulle signifiance. Ces résultats, avec l'examen critique des autres investigations dzns ce domaine, donne la conclusion à l'auteur qu'il n'y a pas encore de l'evidence satisfaisante de la présence d'un grand facteur collectif de “pérséveration” ou “inertia mentale.” Céci ne veut pas dire que la “persévération” comme grand facteur collectif a été réfutée, car i1 est tout à fait possible que les mesures employées soient entièrement insuffisantes pour la mesure de la persévération elle-même, libre des éléments étrangers qui tendent à annuler le résultat pour la persévération. Il se montre quelque évidence dans cette étude de la présence d'un petit facteur collectif de persévération motrice qui corrobore les résultats de Hargreaves et de Bernstein à cet égard. On a développé une mesure de dépression-exaltation à employer avec des sujets normaux laquelle a montré un coefficient corrigé de validité de 0,95, P.E. 0,03, et un coefficient de constance Brown-Spearman (pair et impair) de 0,78, P.E. 0,08. La corrélation moyenne entre l'introversion, mesurée par le Test D'Intérêt Conklin de l'Extroversion-Introversion, et ces mesures de persévération a été de 0,03, P.E. 0,08. Ces résultats ne soutiennent pas du tout l'hypothèse que lapersévération a une relation avec la dépression et que lapersévération peut être identifiée avec l'introversion. Referat Man gab 78 Collegestudenten 16 verschiedene Messungen des “Verharrens” (perseveration). Die durchschnittliche Wechselbeziehung zwischen diesen Massen war so gering, dass die Berechnung der tetraden Differen zen fast bedeutungslos wird. Diese Ergebnisse zusammen mit einer kriti schen Prüfung anderer Untersuchungen dieses Gebietes, führen den Ver fasser zur Schlussfolgerung, dass es bis jetzt noch keine befriedigende Beweise für das Bestehen eines umfassenden Gruppenfaktors, “des Verharrens,” oder der “geistigen Trägheit” (“mental inertia”) gibt. Das be deutet aber nicht, dass das Fehlen des “Verharrens” als umfassender Grup penfaktor bewiesen wurde; denn es ist ganz wohl möglich, dass die ange wandten Masse ganz unzulänglich sind für die Messung des Verharrens überhaupt, abgesehen von fremden Elementen welche das Mass des Ver harrens aufzuheben trachten. In der vorliegenden Arbeit liegt etwas Beweismaterial vor für die Existenz eines engern Gruppenfaktoren motorischen Verharrens, welches die Ergebnisse von Hargreaves und Bernstein in dieser Hinsicht bestätigen. Es wurde ein Mass für depressive und frohe Erregung für normale Personen entwickelt, welches einen korrigierten Gültigkeitskoeffizienten von 0,95, mk einer Fehlerquelle (P.E.) von 0,03, und einen Brown-Spearman Zuverlässigkeitskoeffizienten (gerade gegen ungerade) von 0,78 mit Fehlerquelle von 0,08 aufweist. Die durchschnittliche Korrelation zwischen Introversion, gemessen mit dem Conklin Extraversion- Introversion-Interessen-Test, und diesen Massen des Verharrens war 0,03 mit Fehlerquelle von 0,08. Diese Ergebnisse unterstützen die Hypothese in keiner Weise, dass das Verharren mit Depression in Beziehung stehe, und dass das Verharren mit Introversion identifiziert werden könne.