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Viewpoint: Science Cities: refreshing the concept for 21st-century places

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... Greater emphasis is placed on soft infrastructure such as commercialisation programmes and networking. A notable feature of many of these initiatives is a broader social mandate concerned with social inclusion and public engagement with science, emerging from wider local partnerships constructed to develop the vision (Garner, 2006;Webber, 2008). ...
... York already had a strategy called York Science City which had been developed by the City Council and University, and which they had been promoting for several years. Manchester had a Knowledge Capital strategy which absorbed the science city idea (Garner, 2006), but for Newcastle it was a genuine surprise as there was nothing in place beforehand. The second three cities also had no prior strategy. ...
... Si la qualité et le niveau de formation des cadres et des dirigeants sont des caractéristiques communes à la métropole et à la technopole, la capacité, dans un contexte d'internationalisation de l'économie, à mettre en relation les différents secteurs d'activités (fondées notamment sur la connaissance, la recherche, l'innovation et la créativité) qui composent la base territoriale demeure ainsi un attribut de la seule métropole (Damette, Beckouche, 1990). D. Charles (2015) ou C. Garner (2006) vont dans le même sens lorsqu'ils distinguent les technopoles des « métropoles scientifiques », lesquelles se focalisent moins sur l'accueil d'infrastructures spécifiquement dédiées à la R&D que sur la mobilisation d' « infrastructures soft » susceptibles de mieux articuler politiques sociales, activités technoscientifiques et participation du public à la science. Sur ce dernier point, les auteurs soulignent la dimension stratégique de l'implication de la société civile et des acteurs locaux dans la définition d'une vision métropolitaine du développement des sciences et, plus généralement, de l'économie de la connaissance. ...
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Le territoire en tant que système de lieux, de liens et d’acteurs se construit et se renouvelle sans cesse en fonction de son contexte socio-culturel, géographique, politique, historique... Il est à la fois acteur et facteur de développement économique et social à différentes échelles imbriquées. L’enjeu analytique et opérationnel n’est plus seulement une question de dotations en ressources, de distance et d’accès au marché, mais repose sur la compréhension et la mise en capacités d’un système complexe en constante mutation. Le rôle joué par les institutions locales, les interactions entre les acteurs et effets de proximité multiples sont autant d’éléments qui conditionnent aussi les processus de développement des territoires. Des facteurs endogènes du développement local s’articulent aux facteurs exogènes, qui vont à leur tour influer sur les dynamiques territoriales. En ce sens, le développement territorial repose sur la question du dedans et du dehors, sur celle des flux internes et externes qui irriguent les territoires, mais aussi des liens multi-scalaires que construisent et entretiennent les acteurs. Comment ces systèmes ont-ils évolué sur un temps long ? Le présent manuscrit met en évidence la diversité des impacts territoriaux suite aux chocs, aux crises ou au contraire aux périodes fastes au cours des deux derniers siècles. L’étude de ces processus territorialisés nécessite des cadres conceptuels, des outils, des méthodes propres à l’analyse territoriale. La mobilisation d’indicateurs et de théorie purement macro-économiques appliqués à des échelles infranationales ne peut être satisfaisante. Au fil des pages qui suivent, des notions, concepts et méthodes de l’aménagement et de la géographie sont mises en œuvre pour tenter de comprendre les mutations des systèmes territoriaux.
... D. Charles (2015) ou C . Garner (2006) ...
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In Grenoble, perhaps more than anywhere else, the technopolitan phenomenon has given rise to a vision of the role of innovation and of the knowledge economy in territorial development which is shared by a number of stakeholders. This economy is organized in clearly identified clusters of which the performances are celebrated in the various rankings produced by the media and international institutions. However, the capital of the Alps appears to be weakened from an economic and social perspective: a number of worrying signs appear to be compromising the image of the “Grenoble model”. One of the ways to address this problem could be to metropolise the technopolis. Despite being awarded the metropolis status in January 2015 following the MAPTAM legislation, Grenoble does not yet have all the economic and sociopolitical attributes of a metropolis. In particular, it has not yet been able to embed its clusters in the local urban society, nor has it diversified its economy or renewed its modes of governance
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