Evidence suggests that the Chinese mystery snail, Cipangopaludina chinensis, a freshwater, dioecious, snail of Asian origin has become invasive in North America, Belgium, and the Netherlands. Invasive species threaten indigenous biodiversity and have socioeconomic consequences where invasive. The aim of this review is to synthesize the relevant literature pertaining to C. chinensis in Canada. In doing so, we (i) describe C. chinensis ecosystem interactions in both indigenous (Asia) and non-indigenous habitats (North America and Europe), (ii) identify gaps in the literature, and (iii) determine where the species potential distribution in North America requires further exploration. We also briefly discuss potential management strategies for this species, as an aquatic invasive species (AIS), in Canada. Due to the much larger relative size of adult C. chinensis, multiple feeding mechanisms, and resistance to predation, C. chinensis can out-compete and displace indigenous freshwater gas-tropods and other molluscs. Furthermore, C. chinensis can affect food webs through bottom-up interactions with the bacterial and zooplankton communities by changing nitrogen and phosphorous concentrations. Also, the Chinese literature indicates the potential for C. chinensis to act as a biotransfer of contaminants between polluted ecosystems and consumers. In its indigenous range, C. chinensis was identified as a host for numerous parasites harmful to human and animal consumers alike. A comparison of the Canadian geographical distribution of reported occurrences with that for the United States indicates several potential gaps in Canadian reporting, which merits further investigation and consideration, especially in regard to federal and provincial non-indigenous monitoring and regulations. Southern Ontario had the highest number of reports that were mostly from web-based photo-supported sources. This suggests that interactive citizen science through popular apps backed by well-supported educational campaigns may be a highly effective means of tracking C. chinensis spread, which can be complementary to traditional methods using specimen-vouchered taxonomically verified natural-history collections overseen by professional curators. Résumé : Il semblerait que la vivipare orientale, Cipangopaludina chinensis, un escargot d'eau douce dioïque d'origine asiati-que, soit devenue envahissante en Amérique du Nord, en Belgique et aux Pays-Bas. Les espèces envahissantes menacent la biodiversité indigène et ont des conséquences socio-économiques aux endroits où elles sont envahissantes. L'objectif de cette étude est de faire une synthèse de la littérature pertinente relative à C. chinensis au Canada. Ce faisant, les auteurs (i) décrivent les interactions entre C. chinensis et de l'écosystème dans les habitats indigènes (Asie) et non indigènes (Amérique du Nord et Europe), (ii) identifient les lacunes de la littérature et (iii) déterminent les endroits où la répartition potentielle de l'espèce en Amérique du Nord nécessite une exploration plus approfondie. Ils abordent aussi brièvement les stratégies de gestion possibles pour cette espèce à titre d'espèce aquatique envahissante (EAE) au Canada. En raison de la taille relative beaucoup plus importante de C. chinensis adulte, de multiples mécanismes d'alimentation et de la résistance à la prédation, C. chinensis peut supplanter et déplacer les gastéropodes et les autres mollusques d'eau douce indigènes. En outre, C. chinensis peut affecter les réseaux alimen-taires par des interactions ascendantes avec les communautés bactériennes et zooplanctoniques en modifiant les concentrations d'azote et de phosphore. De plus, la littérature chinoise indique que C. chinensis peut agir comme agent de transfert biologique de contaminants entre les écosystèmes pollués et les consommateurs. Dans son aire de répartition indigène, C. chinensis a été identi-fié comme hôte pour de nombreux parasites dangereux pour les humains et les animaux qui les consomment. Une comparaison de la répartition géographique des signalements au Canada et aux Etats-Unis révèle plusieurs lacunes potentielles dans les signalements canadiens qui doivent être approfondies et prises en compte, notamment en ce qui concerne la surveillance et la réglementation fédérales et provinciales des espèces non indigènes. Le sud de l'Ontario a enregistré le plus grand nombre de signalements qui provenaient pour la plupart de sources photographiques sur Internet. Cela suggère que la science Environ. Rev. Downloaded from cdnsciencepub.com by 156.34.203.170 on 06/16/21 For personal use only. citoyenne interactive, par des applications populaires soutenues par des campagnes d'éducation bien étayées, peut être un moyen très efficace de suivre la propagation de C. chinensis, qui serait complémentaire aux méthodes traditionnelles supervisées par des conservateurs professionnels qui utilisent des collections de spécimens témoins vérifiés sur les plans de l'histoire naturelle et de la taxonomie. [Traduit par la Rédaction]