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Organisation cellulaire d'une crypte de Lieberkühn au sein de la muqueuse colorectale. Le renouvellement de la crypte dépend des cellules souches exprimant LGR5. Les cellules souches génèrent des progéniteurs qui ont une forte capacité proliférative. Ces cellules se différencient au cours de leur ascension à la surface de la crypte en cellules calciformes ou en entérocytes. 

Organisation cellulaire d'une crypte de Lieberkühn au sein de la muqueuse colorectale. Le renouvellement de la crypte dépend des cellules souches exprimant LGR5. Les cellules souches génèrent des progéniteurs qui ont une forte capacité proliférative. Ces cellules se différencient au cours de leur ascension à la surface de la crypte en cellules calciformes ou en entérocytes. 

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Thesis
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Les dommages de l’ADN, induits par les traitements de chimiothérapie, sont responsables de l’induction de la sénescence, un arrêt définitif du cycle cellulaire dépendant des voies p53-p21 et p16-Rb. L'efficacité de cette suppression n’est pas optimale en raison d’une hétérogénéité de réponse à la chimiothérapie. Dans cette étude, nous avons analysé...

Contexts in source publication

Context 1
... plus d'augmenter l'échappement à la sénescence induite après le traitement par le sn38, la salinomycine augmente la capacité de croissance en faible adhérence observée en réponse au sn38. Les contrôles isotypiques et la condition avec l'inhibiteur de l'ALDH, pour le kit Aldefluor, nous ont permis de placer la fenêtre correspondant à la population de cellules positives ( Figure 35A). Dans ces conditions contrôles, les fenêtre sont placées de telle façon à ce que le pourcentage de cellules positives soit inférieur à 3% pour chaque marquage. Pour Ces résultats sont en accord avec les données obtenues par d'autres groupes. Par exemple, l'étude de Hedge et al s'intéresse aux caractéristiques des tumeurs résiduelles après une chimiothérapie chez des souris ayant eu une xénogreffe. Figure 36C). Snail, un autre facteur de transcription de l'EMT, est aussi induit au niveau transcriptionnel, mais de façon plus faible (pistes 9 et 10, Figure 36C). L'ensemble de ces marqueurs d'EMT, excepté Snail, voit son expression transcriptionnel diminuer dans les PLCs (pistes 4 et 8, Figure 36A; pistes 12, 16 et 20, Figure 36C). Nous nous sommes intéressés à Slug et Zeb1 qui sont fortement induits en réponse au sn38. Au niveau protéique, les variations de Slug sont proches de celles de son ARN ( Figure 36D). Zeb1 est une protéine de haut poids moléculaire. Le western blot étant difficile à réaliser, nous n'avons pas pu la détecter. aucune différence du pourcentage de cellules capables de proliférer en faible adhérence n'a pu être mise en évidence ( Figure 37B). Après la transfection de l'ARN interférent de Zeb1, ni le pourcentage de cellules PLCs proliférantes, ni la pousse en agar ne sont modifiés ( Figures 37C, 37D et 37E). Les résultats concernant Zeb1 doivent cependant être pris avec précaution car la perte protéique n'a pas été validée. La différence observée du nombre de PLCs proliférantes entre la condition contrôle et la condition ARN interférent de Slug pourrait être due au rôle ...
Context 2
... plus d'augmenter l'échappement à la sénescence induite après le traitement par le sn38, la salinomycine augmente la capacité de croissance en faible adhérence observée en réponse au sn38. Les contrôles isotypiques et la condition avec l'inhibiteur de l'ALDH, pour le kit Aldefluor, nous ont permis de placer la fenêtre correspondant à la population de cellules positives ( Figure 35A). Dans ces conditions contrôles, les fenêtre sont placées de telle façon à ce que le pourcentage de cellules positives soit inférieur à 3% pour chaque marquage. Pour Ces résultats sont en accord avec les données obtenues par d'autres groupes. Par exemple, l'étude de Hedge et al s'intéresse aux caractéristiques des tumeurs résiduelles après une chimiothérapie chez des souris ayant eu une xénogreffe. Figure 36C). Snail, un autre facteur de transcription de l'EMT, est aussi induit au niveau transcriptionnel, mais de façon plus faible (pistes 9 et 10, Figure 36C). L'ensemble de ces marqueurs d'EMT, excepté Snail, voit son expression transcriptionnel diminuer dans les PLCs (pistes 4 et 8, Figure 36A; pistes 12, 16 et 20, Figure 36C). Nous nous sommes intéressés à Slug et Zeb1 qui sont fortement induits en réponse au sn38. Au niveau protéique, les variations de Slug sont proches de celles de son ARN ( Figure 36D). Zeb1 est une protéine de haut poids moléculaire. Le western blot étant difficile à réaliser, nous n'avons pas pu la détecter. aucune différence du pourcentage de cellules capables de proliférer en faible adhérence n'a pu être mise en évidence ( Figure 37B). Après la transfection de l'ARN interférent de Zeb1, ni le pourcentage de cellules PLCs proliférantes, ni la pousse en agar ne sont modifiés ( Figures 37C, 37D et 37E). Les résultats concernant Zeb1 doivent cependant être pris avec précaution car la perte protéique n'a pas été validée. La différence observée du nombre de PLCs proliférantes entre la condition contrôle et la condition ARN interférent de Slug pourrait être due au rôle ...
Context 3
... plus d'augmenter l'échappement à la sénescence induite après le traitement par le sn38, la salinomycine augmente la capacité de croissance en faible adhérence observée en réponse au sn38. Les contrôles isotypiques et la condition avec l'inhibiteur de l'ALDH, pour le kit Aldefluor, nous ont permis de placer la fenêtre correspondant à la population de cellules positives ( Figure 35A). Dans ces conditions contrôles, les fenêtre sont placées de telle façon à ce que le pourcentage de cellules positives soit inférieur à 3% pour chaque marquage. Pour Ces résultats sont en accord avec les données obtenues par d'autres groupes. Par exemple, l'étude de Hedge et al s'intéresse aux caractéristiques des tumeurs résiduelles après une chimiothérapie chez des souris ayant eu une xénogreffe. Figure 36C). Snail, un autre facteur de transcription de l'EMT, est aussi induit au niveau transcriptionnel, mais de façon plus faible (pistes 9 et 10, Figure 36C). L'ensemble de ces marqueurs d'EMT, excepté Snail, voit son expression transcriptionnel diminuer dans les PLCs (pistes 4 et 8, Figure 36A; pistes 12, 16 et 20, Figure 36C). Nous nous sommes intéressés à Slug et Zeb1 qui sont fortement induits en réponse au sn38. Au niveau protéique, les variations de Slug sont proches de celles de son ARN ( Figure 36D). Zeb1 est une protéine de haut poids moléculaire. Le western blot étant difficile à réaliser, nous n'avons pas pu la détecter. aucune différence du pourcentage de cellules capables de proliférer en faible adhérence n'a pu être mise en évidence ( Figure 37B). Après la transfection de l'ARN interférent de Zeb1, ni le pourcentage de cellules PLCs proliférantes, ni la pousse en agar ne sont modifiés ( Figures 37C, 37D et 37E). Les résultats concernant Zeb1 doivent cependant être pris avec précaution car la perte protéique n'a pas été validée. La différence observée du nombre de PLCs proliférantes entre la condition contrôle et la condition ARN interférent de Slug pourrait être due au rôle ...
Context 4
... plus d'augmenter l'échappement à la sénescence induite après le traitement par le sn38, la salinomycine augmente la capacité de croissance en faible adhérence observée en réponse au sn38. Les contrôles isotypiques et la condition avec l'inhibiteur de l'ALDH, pour le kit Aldefluor, nous ont permis de placer la fenêtre correspondant à la population de cellules positives ( Figure 35A). Dans ces conditions contrôles, les fenêtre sont placées de telle façon à ce que le pourcentage de cellules positives soit inférieur à 3% pour chaque marquage. Pour Ces résultats sont en accord avec les données obtenues par d'autres groupes. Par exemple, l'étude de Hedge et al s'intéresse aux caractéristiques des tumeurs résiduelles après une chimiothérapie chez des souris ayant eu une xénogreffe. Figure 36C). Snail, un autre facteur de transcription de l'EMT, est aussi induit au niveau transcriptionnel, mais de façon plus faible (pistes 9 et 10, Figure 36C). L'ensemble de ces marqueurs d'EMT, excepté Snail, voit son expression transcriptionnel diminuer dans les PLCs (pistes 4 et 8, Figure 36A; pistes 12, 16 et 20, Figure 36C). Nous nous sommes intéressés à Slug et Zeb1 qui sont fortement induits en réponse au sn38. Au niveau protéique, les variations de Slug sont proches de celles de son ARN ( Figure 36D). Zeb1 est une protéine de haut poids moléculaire. Le western blot étant difficile à réaliser, nous n'avons pas pu la détecter. aucune différence du pourcentage de cellules capables de proliférer en faible adhérence n'a pu être mise en évidence ( Figure 37B). Après la transfection de l'ARN interférent de Zeb1, ni le pourcentage de cellules PLCs proliférantes, ni la pousse en agar ne sont modifiés ( Figures 37C, 37D et 37E). Les résultats concernant Zeb1 doivent cependant être pris avec précaution car la perte protéique n'a pas été validée. La différence observée du nombre de PLCs proliférantes entre la condition contrôle et la condition ARN interférent de Slug pourrait être due au rôle ...
Context 5
... plus d'augmenter l'échappement à la sénescence induite après le traitement par le sn38, la salinomycine augmente la capacité de croissance en faible adhérence observée en réponse au sn38. Les contrôles isotypiques et la condition avec l'inhibiteur de l'ALDH, pour le kit Aldefluor, nous ont permis de placer la fenêtre correspondant à la population de cellules positives ( Figure 35A). Dans ces conditions contrôles, les fenêtre sont placées de telle façon à ce que le pourcentage de cellules positives soit inférieur à 3% pour chaque marquage. Pour Ces résultats sont en accord avec les données obtenues par d'autres groupes. Par exemple, l'étude de Hedge et al s'intéresse aux caractéristiques des tumeurs résiduelles après une chimiothérapie chez des souris ayant eu une xénogreffe. Figure 36C). Snail, un autre facteur de transcription de l'EMT, est aussi induit au niveau transcriptionnel, mais de façon plus faible (pistes 9 et 10, Figure 36C). L'ensemble de ces marqueurs d'EMT, excepté Snail, voit son expression transcriptionnel diminuer dans les PLCs (pistes 4 et 8, Figure 36A; pistes 12, 16 et 20, Figure 36C). Nous nous sommes intéressés à Slug et Zeb1 qui sont fortement induits en réponse au sn38. Au niveau protéique, les variations de Slug sont proches de celles de son ARN ( Figure 36D). Zeb1 est une protéine de haut poids moléculaire. Le western blot étant difficile à réaliser, nous n'avons pas pu la détecter. aucune différence du pourcentage de cellules capables de proliférer en faible adhérence n'a pu être mise en évidence ( Figure 37B). Après la transfection de l'ARN interférent de Zeb1, ni le pourcentage de cellules PLCs proliférantes, ni la pousse en agar ne sont modifiés ( Figures 37C, 37D et 37E). Les résultats concernant Zeb1 doivent cependant être pris avec précaution car la perte protéique n'a pas été validée. La différence observée du nombre de PLCs proliférantes entre la condition contrôle et la condition ARN interférent de Slug pourrait être due au rôle ...
Context 6
... plus d'augmenter l'échappement à la sénescence induite après le traitement par le sn38, la salinomycine augmente la capacité de croissance en faible adhérence observée en réponse au sn38. Les contrôles isotypiques et la condition avec l'inhibiteur de l'ALDH, pour le kit Aldefluor, nous ont permis de placer la fenêtre correspondant à la population de cellules positives ( Figure 35A). Dans ces conditions contrôles, les fenêtre sont placées de telle façon à ce que le pourcentage de cellules positives soit inférieur à 3% pour chaque marquage. Pour Ces résultats sont en accord avec les données obtenues par d'autres groupes. Par exemple, l'étude de Hedge et al s'intéresse aux caractéristiques des tumeurs résiduelles après une chimiothérapie chez des souris ayant eu une xénogreffe. Figure 36C). Snail, un autre facteur de transcription de l'EMT, est aussi induit au niveau transcriptionnel, mais de façon plus faible (pistes 9 et 10, Figure 36C). L'ensemble de ces marqueurs d'EMT, excepté Snail, voit son expression transcriptionnel diminuer dans les PLCs (pistes 4 et 8, Figure 36A; pistes 12, 16 et 20, Figure 36C). Nous nous sommes intéressés à Slug et Zeb1 qui sont fortement induits en réponse au sn38. Au niveau protéique, les variations de Slug sont proches de celles de son ARN ( Figure 36D). Zeb1 est une protéine de haut poids moléculaire. Le western blot étant difficile à réaliser, nous n'avons pas pu la détecter. aucune différence du pourcentage de cellules capables de proliférer en faible adhérence n'a pu être mise en évidence ( Figure 37B). Après la transfection de l'ARN interférent de Zeb1, ni le pourcentage de cellules PLCs proliférantes, ni la pousse en agar ne sont modifiés ( Figures 37C, 37D et 37E). Les résultats concernant Zeb1 doivent cependant être pris avec précaution car la perte protéique n'a pas été validée. La différence observée du nombre de PLCs proliférantes entre la condition contrôle et la condition ARN interférent de Slug pourrait être due au rôle ...
Context 7
... plus d'augmenter l'échappement à la sénescence induite après le traitement par le sn38, la salinomycine augmente la capacité de croissance en faible adhérence observée en réponse au sn38. Les contrôles isotypiques et la condition avec l'inhibiteur de l'ALDH, pour le kit Aldefluor, nous ont permis de placer la fenêtre correspondant à la population de cellules positives ( Figure 35A). Dans ces conditions contrôles, les fenêtre sont placées de telle façon à ce que le pourcentage de cellules positives soit inférieur à 3% pour chaque marquage. Pour Ces résultats sont en accord avec les données obtenues par d'autres groupes. Par exemple, l'étude de Hedge et al s'intéresse aux caractéristiques des tumeurs résiduelles après une chimiothérapie chez des souris ayant eu une xénogreffe. Figure 36C). Snail, un autre facteur de transcription de l'EMT, est aussi induit au niveau transcriptionnel, mais de façon plus faible (pistes 9 et 10, Figure 36C). L'ensemble de ces marqueurs d'EMT, excepté Snail, voit son expression transcriptionnel diminuer dans les PLCs (pistes 4 et 8, Figure 36A; pistes 12, 16 et 20, Figure 36C). Nous nous sommes intéressés à Slug et Zeb1 qui sont fortement induits en réponse au sn38. Au niveau protéique, les variations de Slug sont proches de celles de son ARN ( Figure 36D). Zeb1 est une protéine de haut poids moléculaire. Le western blot étant difficile à réaliser, nous n'avons pas pu la détecter. aucune différence du pourcentage de cellules capables de proliférer en faible adhérence n'a pu être mise en évidence ( Figure 37B). Après la transfection de l'ARN interférent de Zeb1, ni le pourcentage de cellules PLCs proliférantes, ni la pousse en agar ne sont modifiés ( Figures 37C, 37D et 37E). Les résultats concernant Zeb1 doivent cependant être pris avec précaution car la perte protéique n'a pas été validée. La différence observée du nombre de PLCs proliférantes entre la condition contrôle et la condition ARN interférent de Slug pourrait être due au rôle ...
Context 8
... plus d'augmenter l'échappement à la sénescence induite après le traitement par le sn38, la salinomycine augmente la capacité de croissance en faible adhérence observée en réponse au sn38. Les contrôles isotypiques et la condition avec l'inhibiteur de l'ALDH, pour le kit Aldefluor, nous ont permis de placer la fenêtre correspondant à la population de cellules positives ( Figure 35A). Dans ces conditions contrôles, les fenêtre sont placées de telle façon à ce que le pourcentage de cellules positives soit inférieur à 3% pour chaque marquage. Pour Ces résultats sont en accord avec les données obtenues par d'autres groupes. Par exemple, l'étude de Hedge et al s'intéresse aux caractéristiques des tumeurs résiduelles après une chimiothérapie chez des souris ayant eu une xénogreffe. Figure 36C). Snail, un autre facteur de transcription de l'EMT, est aussi induit au niveau transcriptionnel, mais de façon plus faible (pistes 9 et 10, Figure 36C). L'ensemble de ces marqueurs d'EMT, excepté Snail, voit son expression transcriptionnel diminuer dans les PLCs (pistes 4 et 8, Figure 36A; pistes 12, 16 et 20, Figure 36C). Nous nous sommes intéressés à Slug et Zeb1 qui sont fortement induits en réponse au sn38. Au niveau protéique, les variations de Slug sont proches de celles de son ARN ( Figure 36D). Zeb1 est une protéine de haut poids moléculaire. Le western blot étant difficile à réaliser, nous n'avons pas pu la détecter. aucune différence du pourcentage de cellules capables de proliférer en faible adhérence n'a pu être mise en évidence ( Figure 37B). Après la transfection de l'ARN interférent de Zeb1, ni le pourcentage de cellules PLCs proliférantes, ni la pousse en agar ne sont modifiés ( Figures 37C, 37D et 37E). Les résultats concernant Zeb1 doivent cependant être pris avec précaution car la perte protéique n'a pas été validée. La différence observée du nombre de PLCs proliférantes entre la condition contrôle et la condition ARN interférent de Slug pourrait être due au rôle ...
Context 9
... ces deux conditions, le pourcentage passe de 0,25% à 2,5% environ ( Figure ...
Context 10
... avons dans un premier temps étudié leur expression par western blot. Au niveau protéique, l'expression de Bcl-2 diminue nettement à quatre jours de traitement par le sn38 par rapport aux cellules non traitées (pistes 1 et 3, Figure 38A). A ce temps, l'expression de Bim, Bax et Mcl-1 est stable et celle de Bcl-xL augmente (pistes 1 et 3, Figure 38A). Au niveau transcriptionnel, Mcl-1 et Bcl-xL sont induits à deux jours de traitement par le sn38 ( Figure 38B). Dans les PLCs, l'expression protéique de Bim est fortement augmentée alors que celle de Bax est constante (piste 4, Figure 38A) et Noxa n'est pas exprimé. Du coté des protéines anti-apoptotiques, Bcl-2 n'est plus exprimée et le niveau d'expression de Mcl-1 est proche de celui des cellules non traitées (piste 4, Figure 38A). L'expression de Bcl-xL dans ...
Context 11
... avons dans un premier temps étudié leur expression par western blot. Au niveau protéique, l'expression de Bcl-2 diminue nettement à quatre jours de traitement par le sn38 par rapport aux cellules non traitées (pistes 1 et 3, Figure 38A). A ce temps, l'expression de Bim, Bax et Mcl-1 est stable et celle de Bcl-xL augmente (pistes 1 et 3, Figure 38A). Au niveau transcriptionnel, Mcl-1 et Bcl-xL sont induits à deux jours de traitement par le sn38 ( Figure 38B). Dans les PLCs, l'expression protéique de Bim est fortement augmentée alors que celle de Bax est constante (piste 4, Figure 38A) et Noxa n'est pas exprimé. Du coté des protéines anti-apoptotiques, Bcl-2 n'est plus exprimée et le niveau d'expression de Mcl-1 est proche de celui des cellules non traitées (piste 4, Figure 38A). L'expression de Bcl-xL dans ...
Context 12
... avons dans un premier temps étudié leur expression par western blot. Au niveau protéique, l'expression de Bcl-2 diminue nettement à quatre jours de traitement par le sn38 par rapport aux cellules non traitées (pistes 1 et 3, Figure 38A). A ce temps, l'expression de Bim, Bax et Mcl-1 est stable et celle de Bcl-xL augmente (pistes 1 et 3, Figure 38A). Au niveau transcriptionnel, Mcl-1 et Bcl-xL sont induits à deux jours de traitement par le sn38 ( Figure 38B). Dans les PLCs, l'expression protéique de Bim est fortement augmentée alors que celle de Bax est constante (piste 4, Figure 38A) et Noxa n'est pas exprimé. Du coté des protéines anti-apoptotiques, Bcl-2 n'est plus exprimée et le niveau d'expression de Mcl-1 est proche de celui des cellules non traitées (piste 4, Figure 38A). L'expression de Bcl-xL dans ...
Context 13
... avons dans un premier temps étudié leur expression par western blot. Au niveau protéique, l'expression de Bcl-2 diminue nettement à quatre jours de traitement par le sn38 par rapport aux cellules non traitées (pistes 1 et 3, Figure 38A). A ce temps, l'expression de Bim, Bax et Mcl-1 est stable et celle de Bcl-xL augmente (pistes 1 et 3, Figure 38A). Au niveau transcriptionnel, Mcl-1 et Bcl-xL sont induits à deux jours de traitement par le sn38 ( Figure 38B). Dans les PLCs, l'expression protéique de Bim est fortement augmentée alors que celle de Bax est constante (piste 4, Figure 38A) et Noxa n'est pas exprimé. Du coté des protéines anti-apoptotiques, Bcl-2 n'est plus exprimée et le niveau d'expression de Mcl-1 est proche de celui des cellules non traitées (piste 4, Figure 38A). L'expression de Bcl-xL dans ...
Context 14
... avons dans un premier temps étudié leur expression par western blot. Au niveau protéique, l'expression de Bcl-2 diminue nettement à quatre jours de traitement par le sn38 par rapport aux cellules non traitées (pistes 1 et 3, Figure 38A). A ce temps, l'expression de Bim, Bax et Mcl-1 est stable et celle de Bcl-xL augmente (pistes 1 et 3, Figure 38A). Au niveau transcriptionnel, Mcl-1 et Bcl-xL sont induits à deux jours de traitement par le sn38 ( Figure 38B). Dans les PLCs, l'expression protéique de Bim est fortement augmentée alors que celle de Bax est constante (piste 4, Figure 38A) et Noxa n'est pas exprimé. Du coté des protéines anti-apoptotiques, Bcl-2 n'est plus exprimée et le niveau d'expression de Mcl-1 est proche de celui des cellules non traitées (piste 4, Figure 38A). L'expression de Bcl-xL dans ...
Context 15
... semble avoir l'effet majeur, Mcl-1 et Bcl-xL semblent tout de même avoir une action synergique dans l'échappement à la sénescence et la résistance à l'anoikis. Pour conclure cette deuxième partie, nous avons vu que les cellules LS174T CD44 high , exprimant LGR5 et ayant une activité de l'ALDH voyaient leur pourcentage diminuer suite au traitement par le sn38 et dans les cellules persistantes ( Figure 35C). Cela n'exclu pourtant pas que les cellules souches cancéreuses (CSC) aient un rôle dans notre modèle. Dans les cellules LS174T, le mécanisme de transition épithélio- mésenchymateuse (EMT) serait induit de manière transitoire en réponse au sn38 ( Figure 36). L'extinction de Slug et Zeb1, fortement induits en réponse au traitement, n'aurait aucun effet sur la résistance à l'anoikis. Cependant, Slug pourrait inhiber l'émergence des PLD ( Figure 37). Enfin, nous avons démasqué une sensibilité des cellules traitées à l'inhibition de protéines de survie Mcl-1 et Bcl-xL (Figures 38 et 40). Ces protéines participeraient à l'échappement à la sénescence et à la résistance à l'anoikis observés après le traitement (Figures 41, 42 et 43). Les cellules persistantes sont constituées de sous-populations hétérogènes. Nous nous sommes donc demandés, entre les cellules proliférantes (PLD) et les cellules sénescentes (PLS) quelles cellules sont dépendantes de Bcl-xL et Mcl-1 et quelles cellules sont responsables de la résistance à l'anoikis. Nous avons donc mis en oeuvre une méthode de séparation de ces deux populations ...
Context 16
... semble avoir l'effet majeur, Mcl-1 et Bcl-xL semblent tout de même avoir une action synergique dans l'échappement à la sénescence et la résistance à l'anoikis. Pour conclure cette deuxième partie, nous avons vu que les cellules LS174T CD44 high , exprimant LGR5 et ayant une activité de l'ALDH voyaient leur pourcentage diminuer suite au traitement par le sn38 et dans les cellules persistantes ( Figure 35C). Cela n'exclu pourtant pas que les cellules souches cancéreuses (CSC) aient un rôle dans notre modèle. Dans les cellules LS174T, le mécanisme de transition épithélio- mésenchymateuse (EMT) serait induit de manière transitoire en réponse au sn38 ( Figure 36). L'extinction de Slug et Zeb1, fortement induits en réponse au traitement, n'aurait aucun effet sur la résistance à l'anoikis. Cependant, Slug pourrait inhiber l'émergence des PLD ( Figure 37). Enfin, nous avons démasqué une sensibilité des cellules traitées à l'inhibition de protéines de survie Mcl-1 et Bcl-xL (Figures 38 et 40). Ces protéines participeraient à l'échappement à la sénescence et à la résistance à l'anoikis observés après le traitement (Figures 41, 42 et 43). Les cellules persistantes sont constituées de sous-populations hétérogènes. Nous nous sommes donc demandés, entre les cellules proliférantes (PLD) et les cellules sénescentes (PLS) quelles cellules sont dépendantes de Bcl-xL et Mcl-1 et quelles cellules sont responsables de la résistance à l'anoikis. Nous avons donc mis en oeuvre une méthode de séparation de ces deux populations ...
Context 17
... semble avoir l'effet majeur, Mcl-1 et Bcl-xL semblent tout de même avoir une action synergique dans l'échappement à la sénescence et la résistance à l'anoikis. Pour conclure cette deuxième partie, nous avons vu que les cellules LS174T CD44 high , exprimant LGR5 et ayant une activité de l'ALDH voyaient leur pourcentage diminuer suite au traitement par le sn38 et dans les cellules persistantes ( Figure 35C). Cela n'exclu pourtant pas que les cellules souches cancéreuses (CSC) aient un rôle dans notre modèle. Dans les cellules LS174T, le mécanisme de transition épithélio- mésenchymateuse (EMT) serait induit de manière transitoire en réponse au sn38 ( Figure 36). L'extinction de Slug et Zeb1, fortement induits en réponse au traitement, n'aurait aucun effet sur la résistance à l'anoikis. Cependant, Slug pourrait inhiber l'émergence des PLD ( Figure 37). Enfin, nous avons démasqué une sensibilité des cellules traitées à l'inhibition de protéines de survie Mcl-1 et Bcl-xL (Figures 38 et 40). Ces protéines participeraient à l'échappement à la sénescence et à la résistance à l'anoikis observés après le traitement (Figures 41, 42 et 43). Les cellules persistantes sont constituées de sous-populations hétérogènes. Nous nous sommes donc demandés, entre les cellules proliférantes (PLD) et les cellules sénescentes (PLS) quelles cellules sont dépendantes de Bcl-xL et Mcl-1 et quelles cellules sont responsables de la résistance à l'anoikis. Nous avons donc mis en oeuvre une méthode de séparation de ces deux populations ...
Context 18
... semble avoir l'effet majeur, Mcl-1 et Bcl-xL semblent tout de même avoir une action synergique dans l'échappement à la sénescence et la résistance à l'anoikis. Pour conclure cette deuxième partie, nous avons vu que les cellules LS174T CD44 high , exprimant LGR5 et ayant une activité de l'ALDH voyaient leur pourcentage diminuer suite au traitement par le sn38 et dans les cellules persistantes ( Figure 35C). Cela n'exclu pourtant pas que les cellules souches cancéreuses (CSC) aient un rôle dans notre modèle. Dans les cellules LS174T, le mécanisme de transition épithélio- mésenchymateuse (EMT) serait induit de manière transitoire en réponse au sn38 ( Figure 36). L'extinction de Slug et Zeb1, fortement induits en réponse au traitement, n'aurait aucun effet sur la résistance à l'anoikis. Cependant, Slug pourrait inhiber l'émergence des PLD ( Figure 37). Enfin, nous avons démasqué une sensibilité des cellules traitées à l'inhibition de protéines de survie Mcl-1 et Bcl-xL (Figures 38 et 40). Ces protéines participeraient à l'échappement à la sénescence et à la résistance à l'anoikis observés après le traitement (Figures 41, 42 et 43). Les cellules persistantes sont constituées de sous-populations hétérogènes. Nous nous sommes donc demandés, entre les cellules proliférantes (PLD) et les cellules sénescentes (PLS) quelles cellules sont dépendantes de Bcl-xL et Mcl-1 et quelles cellules sont responsables de la résistance à l'anoikis. Nous avons donc mis en oeuvre une méthode de séparation de ces deux populations ...
Context 19
... diminue par rapport à la condition quatre jours de traitement mais est plus forte que dans les cellules non traitées (pistes 1, 2 et 4, Figure 38A). On peut donc penser que Bcl- xL limite l'effet pro-apoptotique de Bim. Nous nous sommes donc demandés si la survie des cellules LS174T au cours de la réponse au traitement dépendait de Bcl-xL et ...
Context 20
... Les cellules sont traitées avec le sn38 pendant quatre jours, l'ABT-737 est ajouté un jour avant la fin de la procédure comme indiqué sur le schéma ( Figure 39A). Après le traitement au sn38, il n'y a pas de différence de pourcentage de cellules mortes entre les conditions avec ou sans ABT-737 dans les cellules LS174T (pistes 2 et 4, Figure 39A). En revanche, dans les cellules HCT116, l'utilisation de cette combinaison est très efficace et la quasi totalité des cellules meurent (pistes 6 et 8, Figure 39A). Alors que l'expression de Bcl-2 diminue en réponse au traitement par le sn38, celle de Bcl-xL est augmentée dans les cellules HCT116 (pistes 1 et 3, Figure 39B). Cela signifie que la survie des cellules HCT116, après le traitement sn38, dépend de Bcl-xL. A ce temps, Les cellules LS174T n'expriment pas Bcl-2 (piste 3, Figure 38A). On peut donc dire que la survie des cellules LS174T ne dépend pas de Bcl-xL, ou pas ...
Context 21
... Les cellules sont traitées avec le sn38 pendant quatre jours, l'ABT-737 est ajouté un jour avant la fin de la procédure comme indiqué sur le schéma ( Figure 39A). Après le traitement au sn38, il n'y a pas de différence de pourcentage de cellules mortes entre les conditions avec ou sans ABT-737 dans les cellules LS174T (pistes 2 et 4, Figure 39A). En revanche, dans les cellules HCT116, l'utilisation de cette combinaison est très efficace et la quasi totalité des cellules meurent (pistes 6 et 8, Figure 39A). Alors que l'expression de Bcl-2 diminue en réponse au traitement par le sn38, celle de Bcl-xL est augmentée dans les cellules HCT116 (pistes 1 et 3, Figure 39B). Cela signifie que la survie des cellules HCT116, après le traitement sn38, dépend de Bcl-xL. A ce temps, Les cellules LS174T n'expriment pas Bcl-2 (piste 3, Figure 38A). On peut donc dire que la survie des cellules LS174T ne dépend pas de Bcl-xL, ou pas ...
Context 22
... Les cellules sont traitées avec le sn38 pendant quatre jours, l'ABT-737 est ajouté un jour avant la fin de la procédure comme indiqué sur le schéma ( Figure 39A). Après le traitement au sn38, il n'y a pas de différence de pourcentage de cellules mortes entre les conditions avec ou sans ABT-737 dans les cellules LS174T (pistes 2 et 4, Figure 39A). En revanche, dans les cellules HCT116, l'utilisation de cette combinaison est très efficace et la quasi totalité des cellules meurent (pistes 6 et 8, Figure 39A). Alors que l'expression de Bcl-2 diminue en réponse au traitement par le sn38, celle de Bcl-xL est augmentée dans les cellules HCT116 (pistes 1 et 3, Figure 39B). Cela signifie que la survie des cellules HCT116, après le traitement sn38, dépend de Bcl-xL. A ce temps, Les cellules LS174T n'expriment pas Bcl-2 (piste 3, Figure 38A). On peut donc dire que la survie des cellules LS174T ne dépend pas de Bcl-xL, ou pas ...
Context 23
... Les cellules sont traitées avec le sn38 pendant quatre jours, l'ABT-737 est ajouté un jour avant la fin de la procédure comme indiqué sur le schéma ( Figure 39A). Après le traitement au sn38, il n'y a pas de différence de pourcentage de cellules mortes entre les conditions avec ou sans ABT-737 dans les cellules LS174T (pistes 2 et 4, Figure 39A). En revanche, dans les cellules HCT116, l'utilisation de cette combinaison est très efficace et la quasi totalité des cellules meurent (pistes 6 et 8, Figure 39A). Alors que l'expression de Bcl-2 diminue en réponse au traitement par le sn38, celle de Bcl-xL est augmentée dans les cellules HCT116 (pistes 1 et 3, Figure 39B). Cela signifie que la survie des cellules HCT116, après le traitement sn38, dépend de Bcl-xL. A ce temps, Les cellules LS174T n'expriment pas Bcl-2 (piste 3, Figure 38A). On peut donc dire que la survie des cellules LS174T ne dépend pas de Bcl-xL, ou pas ...
Context 24
... Les cellules sont traitées avec le sn38 pendant quatre jours, l'ABT-737 est ajouté un jour avant la fin de la procédure comme indiqué sur le schéma ( Figure 39A). Après le traitement au sn38, il n'y a pas de différence de pourcentage de cellules mortes entre les conditions avec ou sans ABT-737 dans les cellules LS174T (pistes 2 et 4, Figure 39A). En revanche, dans les cellules HCT116, l'utilisation de cette combinaison est très efficace et la quasi totalité des cellules meurent (pistes 6 et 8, Figure 39A). Alors que l'expression de Bcl-2 diminue en réponse au traitement par le sn38, celle de Bcl-xL est augmentée dans les cellules HCT116 (pistes 1 et 3, Figure 39B). Cela signifie que la survie des cellules HCT116, après le traitement sn38, dépend de Bcl-xL. A ce temps, Les cellules LS174T n'expriment pas Bcl-2 (piste 3, Figure 38A). On peut donc dire que la survie des cellules LS174T ne dépend pas de Bcl-xL, ou pas ...
Context 25
... long des cryptes de Lieberkühn, l'épithélium est composé d'une couche de cellules épithéliales comprenant des cellules différenciées, des progéniteurs et des cellules souches ( Sancho et al., 2004) ( Figure 3). Les cellules différenciées se localisent dans la partie supérieure de la crypte et sont de plusieurs types : les cellules absorbantes ou entérocytes et les cellules sécrétrices (Barker, 2013 Le fort renouvellement de l'épithélium dépend en effet de quelques cellules souches qui tapissent le fond de ces cryptes (Radtke & Clevers, 2005). Deux groupes de cellules souches intestinales sont décrites (Barker, 2013). Elles se distinguent par un niveau de prolifération différent. Les cellules LGR5 positives (LGR5+) sont localisées à la base des cryptes et se divisent rapidement. Elles expriment aussi les marqueurs ASCL2 et OLFM4 qui participent aux capacités souches et prolifératives ( Jubb et al., 2006) (van der Flier et al., 2009) (Jang, ) (Barker, 2013. A l'inverse, les cellules +4, localisées en position +4 par rapport au fond de la crypte, prolifèrent très peu et sont même considérées comme quiescentes par certaines équipes. Ces cellules expriment la protéine Bmi1 qui fait partie du complexe de répression transcriptionnelle PRC1 (polycomb- repressing complex 1). En reconnaissant des marques épigénétiques déposées par PRC2, ce complexe inhibe de façon stable l'expression de régions chromatiniennes où se situent des gènes de différenciation. Ces complexes maintiennent donc l'état souche des cellules +4 (Valk-Lingbeek, Bruggeman, & van Lohuizen, 2004) (Sangiorgi & Capecchi, 2008). Malgré leur faible nombre, ces dernières sont importantes pour l'homéostasie de la crypte car elles constituent une réserve de cellules souches (Vermeulen & Snippert, 2014 cellulaire, est capable de former un organoïde in vitro (T. Sato et al., 2009). Cet organoïde reconstitue une structure très proche de celle de l'intestin avec un lumen entouré de cellules épithéliales qui forment plusieurs cryptes (T. Sato & Clevers, 2013). Une seule cellule LGR5+ reconstitue donc une crypte intestinale. Tout en maintenant leur nombre, les cellules LGR5 se divisent en progéniteurs («transit-amplifying cells» ou cellules TA). Ces derniers prolifèrent et se différencient au cours de leur ascension vers la surface de la crypte. Cette production continue de cellules épithéliales compense la perte de ces cellules à la surface de ...